Âge : vingt-trois ans maggle Métier ou études : répandre la bonne parole et claquer l'argent de papa
Résidence : là où les dieux me mène Journal :
The God I decide to believe in is the God of the bathroom floor. A God of scandalously low expectations. A God who smiles down at a drunk on the floor, wasted and afraid, and says, There you are. I’ve been waiting.
Messages : 917 Crédits : night glow
Sujet: addicted (ft.seo eden) 06.09.18 17:52
addicted ★ I’ll be shining on you everywhere (aesthetic) Le tee-shirt trois fois trop grandes d’Andy en guise de vêtements et une tasse de chaï brûlant dans les mains. Un seul leitmotiv : besoin de se détendre. La journée avait pourtant bien commencé : un grand verre de lait de soja, une galette de riz et une séance de méditation. Seulement dans cette routine si bien organisée, il avait fallu que tu jettes un coup d’œil à ton portable. Un snap. En soit pas de quoi alerté qui que ce soit. Seulement t’as bien cru que la terre était sur le point de s’arrêter de tourner quand t’as vu son nom apparaître sur l’écran. Eden. Un été passé loin l’un de l’autre. Pas une seule nouvelle et un snap presque venu de nulle part. T’as d’abord jeté ton portable dans un coin sans même prendre le temps d’ouvrir le message. Sentant déjà la colère t’envahir, t’avais opté pour l’option détente dans un bon bain chaud. Mais rien à faire. Pas même la mousse senteur rose éternelle n’avait réussi à te calmer. Ce putain de petit onglet violet qui avait fini par t’obséder. Alors t’avais fini par l’ouvrir pour tomber nez à nez sur ce sourire à la fois délicieux et détestable. Foutu snap. J’suis rentré. Pas plus pas moins. Du Eden à l’état pur me direz-vous. Exécrable et pourtant envoûtant. Un seul petit snap et voilà qu’en l’espace d’une demi-seconde il avait réussi à redevenir le centre de tes pensées. Qu’avait-il bien pu faire pendant tout ce temps ? Qu’attend-il de toi ? Et pourtant cette fois-ci tu avais décidé de lutter contre tes vieux démons. Tu t’étais d’abord éloigné de ton portable pour te la jouer silence radio dans le simple but de lui rendre la monnaie de sa pièce. Puéril ? Peut-être un peu, mais à tes yeux à la hauteur du phénomène nommé Eden. Puis laissant quelques heures passées tu t’étais finalement décidé à répondre en deux mots : et alors ? Parce que c’était bien de ça dont il était question. Qu’est-ce que son retour allait bien pouvoir changer ? La distance creusée entre vous n’allait, à tes yeux, pas pouvoir se réduire avec un simple je suis rentrée et tu comptais bien lui faire passer le message. Juste un et alors et une grande tasse de chaï, pas plus, pas moins. Seulement tu te doutais déjà bien qu’il ne se contenterait pas de ça. Des années de pratique en la matière t’avaient appris que son message n’était sans doute qu’un premier contact histoire de mettre tes sens en éveil. Pari réussi. Réveiller les vieux démons pour mieux réactiver la flamme. Oh oui tu le vois déjà arrivé avec ses grands yeux et ses sourires enjôleurs. Tu secoues la tête préférant te noyer dans ta tasse de thé. Puis il apparaît dans l’encadrement de la porte et tu crois d’abord que ton cerveau de joue des tours. Bien évidemment, Seo Eden ne prend jamais la peine de s’annoncer en utilisant la sonnette. « Faut vraiment que je pense à changer le code de cette porte ». Pas un bonjour ni même un sourire, t’estimes qu’il ne le mérite pas ou du moins pas encore.
Âge : vingt quatre aans, on est conteeent Métier ou études : directeur du jook joint jezebel
Résidence : dans un penthouse sur l’île d'oryükdo Côté coeur : aimez tout le monde, baisez tout le monde ça doit être votre mojo à jamais
Journal :
whisper of the heart
Je sens en moi une trame douce, vibrante, un battement d’ailes tremblant au repos, retenant son souffle. Quand je serai vraiment capable de peindre, je peindrai ça.
la noirceur des mots, la beauté du regard,
être quitté c'était un risque consenti au premier regard. mais partir, c'était autre chose. c'était renoncer à toi de mon propre chef. ne plus te voir, ne plus t'entendre, te toucher parce que je l'avais décidé.
brother complex,
je brille que si tu brilles. ton cœur a crié mais je t'entendais si mal. j'peux pas, les âmes en paix rêvent de s'émanciper. ceux qui n'cherchent que le sommeil s'y perdent. le temps passe, les rêves s'entassent.
don't go and leave me,
if I could tear you from the ceiling, i know best have tried. i'd fill your every breath with meaning and find a place we both could hide.
the beast and the beauty,
renaître dans ses courbes, rallumer la flamme qui nous anime et transcender l'incroyable vérité que nous vivons dans nos passions irrésolues. le fantasme nourrit nos rencontres, la résolution nous désunis.
j'aimerais pouvoir vivre, savoir que c'est possible. corrompre le temps et mon orgueil. me baigner dans les eaux salés des larmes des autres qui t'ont détruits. j'aimerais tout ça mais je ne tente que le chaos.
addicted ★ I’ll be shining on you everywhere (aesthetic) et alors. quel audace. quel affront. si bien que ta bouche reste ouverte encore un moment. tu aimerais briefer un moment sur ce qu'il vient de se passer mais tu ne peux pas tant le dédain de la jeune effrontée te laisse pantois. pendant un moment, tu sers ton smartphone en bredouillant des injures au destinataire de ta mauvaise humeur avant de réfléchir à un plan machiavélique signé seo eden. un qui te correspond bien et qui remettrai la hiérarchie en ordre. tu attrapes ta veste et ferme derrière toi sans piper un mot. maquillant ta fuite dans les crissements de ta voiture tu finis par arriver devant l'appartement d'eve. et quand bien même vous vous connaissez depuis longtemps, tu ne parviens pas à cerner son arrogance en même temps que ses menaces avant ton départ. qu'en est-il ? alors tu avances d'un pas mi-décidé mi-corrompu par tes pincements au coeur et ouvre violemment la porte. tes pas se lissent presque sur le sol tellement tu as peur de ne pas déranger. tu avance encore un peu faisant glisser tes doigts sur le mur, comme si tu te ré-imprégne de cette maison. enfin tu finis par être face à la raison de ta torpeur, l'objet du culte de l'incompréhension, la définition du malaise. tu soupire entendant sa seule parole. « ouais salut, ça va aussi et toi du coup, quoi de beau ? ouah merci du compliment pour mes ch'veux j't'avoue j'assume pas trop mais tranquille j'vais changer. ouais bah écoute j'étais parti au japon baaaaaah voilà joli paysage les geisha sont grave bonnes quoi qu'un peu prude mais bon. » mains dans les poches, tu te laisse charmé pour t'approcher assez proche d'elle en lui prenant des mains le chaï que tu recrache aussitôt en tirant la langue. « j'constate qu'on reste toujours sur tes trucs de gonzesses. tu peux pas prendre du pepsi ou du soju comme tout le monde ? » sans lui laisser le temps de répondre, tu lui attrape gentiment le col de son t-shirt. bizarre, ce n'est pas le style vestimentaire, en tout cas le style de grand t-shirt qu'elle prend d'habitude. tu arque un sourcil sans la regarder. tu t'interroge sur ses fréquentions puis relâche la pression sur le col en t'accroupissant devant elle. « je t'ai manqué au moins ? désolé j'ai pas vraiment pensé à te prendre un cadeau, j'me suis dis que tu me préférais mort qu'avec un cadeau donc j'ai tout dépensé pour mei. » tu lui souris lentement avant de lâcher un petit rire en voyant sa tête sans expression. on dirait que cette séparation la rendu beaucoup plus forte...
Âge : vingt-trois ans maggle Métier ou études : répandre la bonne parole et claquer l'argent de papa
Résidence : là où les dieux me mène Journal :
The God I decide to believe in is the God of the bathroom floor. A God of scandalously low expectations. A God who smiles down at a drunk on the floor, wasted and afraid, and says, There you are. I’ve been waiting.
Messages : 917 Crédits : night glow
Sujet: Re: addicted (ft.seo eden) 08.09.18 22:39
addicted ★ I’ll be shining on you everywhere (aesthetic) Tu mentirais si tu disais que tu n’as pas attendu son retour. Les premières semaines tu as même prié et invoqué tous les Dieux possibles et inimaginables pour le faire revenir à toi. Seulement rien. Rien d’autre que le silence de l’absence. Au début on trouve ça insupportable, les questions s’entrechoquent et l’indifférence donne le sentiment de devenir fou. Puis après, les jours passent et l’insoutenable devient tolérable. La vie reprend son cours et l’absence se fait moins douloureuse. Pourtant, on imagine encore parfois à quoi la vie pourrait bien ressembler si le passé venait sonner à notre porte. On se fait des films, de ceux avec un nombre infini de fins différentes. On se dit qu’en ayant envisagé toutes les conjonctures possibles on finira bien par être un peu près préparé une fois que sera venue l’heure des retrouvailles. Toi tu n’échappes pas à la règle. Les premières semaines tu t’es imaginé lui ouvrir grands les bras et oublier la plaie béante de son départ. Puis son silence a fini par te faire envisager d’autres scénarios, envie de le faire souffrir à travers le dédain, la froideur, l’apathie et parfois même la cruauté. L’envie de le remplacer et de mettre tes menaces du passé en action. Peut-être as tu même cru y être plus ou moins parvenue. Oui, ces derniers mois tu as appris à vivre sans ne plus rien attendre de lui et alors qu’il te fait face tu ne peux t’empêcher de te demander pourquoi il fait ça. Pourquoi ne peut-il pas s’empêcher de te repousser pour toujours mieux revenir. Tu ne prêtes guère attention à ce qu’il peut bien te dire, il a changé de couleur de cheveux et ? Tu te contentes de porter ta tasse à tes lèvres et de répondre le plus naturellement du monde « C’est bien toi qui as décidé de partir et de jouer au mort non ? » Tu marques une pause, arquant le sourcil alors qu’il s’approche et dérobe ton chaï. « Alors tu comprendras bien que je me fiche pas mal de ce que tu as pu faire là-bas ». Puis comme à son habitude il ne peut s’empêcher de te donner l’impression que tu lui appartiens et comme d’habitude ton corps n’a d’autre recours que le frisson quand ses doigts viennent se poser sur le col du tee-shirt d’Andy. Je t’ai manqué au moins ? Tu grimaces presque malgré toi et chasses du revers de la main ses doigts. Il s’accroupit devant toi et tu as envie de lui crier de s’en aller, mais les mots ne semblent pas vouloir se faire entendre. Merde. Tu t’en sortais pourtant bien sans lui. Il rit et ton cœur ne fait qu’un tour, tu restes pourtant de marbre en restant stoïque. « Qu’est-ce que tu veux ? ». Autant qu’il annonce la couleur, ce soir tu n’as pas envie de jouer.
Âge : vingt quatre aans, on est conteeent Métier ou études : directeur du jook joint jezebel
Résidence : dans un penthouse sur l’île d'oryükdo Côté coeur : aimez tout le monde, baisez tout le monde ça doit être votre mojo à jamais
Journal :
whisper of the heart
Je sens en moi une trame douce, vibrante, un battement d’ailes tremblant au repos, retenant son souffle. Quand je serai vraiment capable de peindre, je peindrai ça.
la noirceur des mots, la beauté du regard,
être quitté c'était un risque consenti au premier regard. mais partir, c'était autre chose. c'était renoncer à toi de mon propre chef. ne plus te voir, ne plus t'entendre, te toucher parce que je l'avais décidé.
brother complex,
je brille que si tu brilles. ton cœur a crié mais je t'entendais si mal. j'peux pas, les âmes en paix rêvent de s'émanciper. ceux qui n'cherchent que le sommeil s'y perdent. le temps passe, les rêves s'entassent.
don't go and leave me,
if I could tear you from the ceiling, i know best have tried. i'd fill your every breath with meaning and find a place we both could hide.
the beast and the beauty,
renaître dans ses courbes, rallumer la flamme qui nous anime et transcender l'incroyable vérité que nous vivons dans nos passions irrésolues. le fantasme nourrit nos rencontres, la résolution nous désunis.
j'aimerais pouvoir vivre, savoir que c'est possible. corrompre le temps et mon orgueil. me baigner dans les eaux salés des larmes des autres qui t'ont détruits. j'aimerais tout ça mais je ne tente que le chaos.
addicted ★ I’ll be shining on you everywhere (aesthetic) elle te semble bien remontée la petite effrontée. et ce serait mentir de dire que tu ne sais pas ce qui va se passer. se rétracter, jouer l'apathie est son mode de survie pour ne plus avoir à essuyer ses erreurs dès lors où elle pose ses lèvres sur les tiennes. tu souris et retient un léger rire quand sa voix n'a rien de doux. « eh détends-toi eve. qu'est-ce qui y a t'as pas peur que je te balance un verre ? » tu plonge son regard dans le sien afin de bien transférer ce dernier souvenir qu'elle a eu de toi avant ta fuite. « alors quoi ? j'ai pas le droit de passer te voir sans avoir un service à te demander? j'suis juste venu voir si tout aller bien ok ? » tu te redresse subitement en tournant tes yeux d'elle. main dans les cheveux tu te demande bien pourquoi on t'amène toujours vers elle et pourquoi ce t-shirt ridicule t'énerve. ça fait un sacré bout de temps que t'es parti. tu souris nerveusement en posant tes mains sur tes hanches. « alors il a fini par sortir du placard hein ? » tu pose à nouveau ton regard sur elle. cependant tu ne noies pas ton regard dans le sien mais dans ce t-shirt comme s'il est le reflet de ce que vous représentez à présent. « donc si on résume bien... je deviens une superstar au japon et toi tout ce que tu trouve à faire c'est enfiler un vieux t-shirt pour me rendre jaloux ? » tu te pointe du doigt, prenant un air qui signifie que tu as bien tout compris mais que tu ne capitule toujours pas. « donc si on résume très bien, encore une fois, la dernière fois qu'on s'est vu c'était juste du... show off ? tu me fais une scène digne d'un drama à deux sous parce que tu ne veux pas que je parte mais au final tu te tourne vers quelqu'un d'autre ?? » tu avance vers elle et te penche, posant tes mains sur les bras du siège afin qu'elle ne puisse plus échapper les disputes et ni ton regard. « j'ai vu bouddha et crois moi il est pas du tout fière de ce que t'es en train de faire »
Âge : vingt-trois ans maggle Métier ou études : répandre la bonne parole et claquer l'argent de papa
Résidence : là où les dieux me mène Journal :
The God I decide to believe in is the God of the bathroom floor. A God of scandalously low expectations. A God who smiles down at a drunk on the floor, wasted and afraid, and says, There you are. I’ve been waiting.
Messages : 917 Crédits : night glow
Sujet: Re: addicted (ft.seo eden) 01.10.18 15:09
addicted ★ I’ll be shining on you everywhere (aesthetic) Tu l’observes en silence, tentant tant bien que mal de refréner l’envie folle que tu as de lui en mettre une pour mieux l’embrasser ensuite. En d’autres termes, tu luttes contre toi même. Tu luttes pour ne pas retomber dans tes vieux démons et ce soir il semble presque prêt à, sans doute malgré lui, te rendre la tâche plus facile. Son ton odieux lorsqu’il évoque ce verre qu’il t’a jeté au visage réveille en toi tout le mépris que tu peux parfois avoir à son égard. Il déchaîne aussi toute l’aigreur que son absence a fait naître. Tous les espoirs déchus résultant de l’attente fanée de son retour. Tu ne réagis même pas lorsqu’il vient plonger ses prunelles dans les tiennes. Tu restes stoïque et tu l’écoutes déballer son grand numéro. Celui où comme d’habitude il te fera passer pour celle qui à quelque chose à se reprocher. Celle qui lui fait du mal, celle qui vous a mené là où vous en êtes aujourd’hui. Puis vint ce moment que tu attends sans doute depuis l’instant même où il a mis un pied chez toi. La raison même pour laquelle ce soir tu as décidé de porter ce tee-shirt. C’est moche ce que la rancœur peut parfois créer chez l’homme. Mais Dieu te pardonnera tu as déjà trop essuyé avec Eden pour ne pas te perdre dans les méandres, l’effervescence des représailles. Tu te mets à rire. Un rire presque aussi froid que les regards qu’il te lance parfois. « C’est donc pour ça que t’es venu ? Besoin de voir si je ne t’ai pas oublié ?» tu marques une pause avant d’affirmer avec assurance « Bah oui mon pauvre Eden tu n'es peut être plus en terrain conquis ». L’absence à des torts que rien ne défend, laissez quelqu’un trop longtemps seul et il finira toujours par se voué à d’autres saints. Ainsi va la vie et cette fois-ci tu n’as peut-être pas complètement échappé à la règle. Ses tirades continuent et tu ris de plus belle. « Du show off ? » répètes-tu pleine de dédain « Je me demande vraiment qui de nous deux excelle en la matière » puis tu fais mine de réfléchir l’espace de quelques secondes « oh attend je crois bien que c’est toi et ta foutue manie à toujours arrivé avec la bouche en cœur, t’a foutue manie de te la jouer grandiose, retourne donc au Japon superstar, puisque là-bas ils ont l’air d’être près à t’applaudir ». Tu sais bien qu’il va se rebiffer et que jamais oh grand jamais il ne te laissera gagner et alors qu’il s’approche pour ne plus te laisser d’échappatoire tu ne peux t’empêcher de sourire à sa remarque avant de t’avancer vers lui et de venir poser ta main sur sa joue. « Bien essayé, mais même Bouddha n’y changera rien » tu laisses tes doigts glissés vers son coup « T’avais tout Eden, mais t’as décidé de partir alors moi j’ai décidé de faire ma vie sans t’attendre ». Puis tu caresses de tes petits doigts autour de son coup, juste à l’endroit où les siens sont venus serrer ta gorge. « Y’a des choses plus difficiles à pardonner que d’autres tu comprends ? » lance-tu presque dans un murmure. @seo eden
seo eden
✨ Admin de l'espace ✨
More informations ?
Âge : vingt quatre aans, on est conteeent Métier ou études : directeur du jook joint jezebel
Résidence : dans un penthouse sur l’île d'oryükdo Côté coeur : aimez tout le monde, baisez tout le monde ça doit être votre mojo à jamais
Journal :
whisper of the heart
Je sens en moi une trame douce, vibrante, un battement d’ailes tremblant au repos, retenant son souffle. Quand je serai vraiment capable de peindre, je peindrai ça.
la noirceur des mots, la beauté du regard,
être quitté c'était un risque consenti au premier regard. mais partir, c'était autre chose. c'était renoncer à toi de mon propre chef. ne plus te voir, ne plus t'entendre, te toucher parce que je l'avais décidé.
brother complex,
je brille que si tu brilles. ton cœur a crié mais je t'entendais si mal. j'peux pas, les âmes en paix rêvent de s'émanciper. ceux qui n'cherchent que le sommeil s'y perdent. le temps passe, les rêves s'entassent.
don't go and leave me,
if I could tear you from the ceiling, i know best have tried. i'd fill your every breath with meaning and find a place we both could hide.
the beast and the beauty,
renaître dans ses courbes, rallumer la flamme qui nous anime et transcender l'incroyable vérité que nous vivons dans nos passions irrésolues. le fantasme nourrit nos rencontres, la résolution nous désunis.
j'aimerais pouvoir vivre, savoir que c'est possible. corrompre le temps et mon orgueil. me baigner dans les eaux salés des larmes des autres qui t'ont détruits. j'aimerais tout ça mais je ne tente que le chaos.
addicted ★ I’ll be shining on you everywhere (aesthetic) ses éloges sarcastiques te font à peine sourire mais dans ta peine tu finis quand même à faire une bouche en coeur quand elle en parle d''elle-même. son côté revancharde te fait plus d'effet que tu ne le pensais. et sa façon de s'approcher dangereusement de toi ; il n'y a pas de doute elle sait où te toucher pour te faire languir. tu essaye désespérément de garder le contrôle mais c'est peine perdue, elle l'a elle-même deviner. eve est très croyante mais ça ne l'empêche pas d'être conne. tu souris en t'avançant un peu plus de ses pulpes qui t'ont affreusement manquées. arrivée à une distance presque infime, tu incline ta tête légèrement et relève son menton. « peut-être que tu as eu le temps de faire autre chose, mais maintenant que je suis revenu te chercher ça n'a plus d'importance, tu comprends j'espère ? » tu re-dessine ses traits du visage comme pour te rappeler de cette appétence que tu avais pour chaque courbes qui devenaient rapidement un attrait. « et tu sais... j'ai appris pleins de choses au japon, pleins de choses qui te feront plaisir. » tes lèvres touchent les siennes. ce toucher ne dure pas longtemps : une fraction de seconde, assez de temps pour ne pas te faire gifler par la suite. « comme être un bon petit-ami, bien sage et bien droit. » tu lui souris une nouvelle fois tentant éperdument de rattraper ce temps perdu et aussi de faire comprendre que tout ce voyage avait été nécessaire à la survie de ce qu'il peut rester de vous deux. tu lui caresse les cheveux et te redresse pour rompre tout contact. « s'il y a plus difficile à pardonner alors dis moi. dis moi comment me faire pardonner. » parce que tu sais que le pardon ne se résume pas qu'à une invitation au restaurant ou un joli bijou accroché à ce merveilleux cou. tu admets être partis trop longtemps pour t'aventurer dans ces fioritures. non, eve elle veut pas du vrai, du matériel ou du toucher. ce qu'elle veut c'est du psychique : c'est le fait de pouvoir sentir que tu es sincère. assez sincère, en tout cas, pour ne plus avoir à t'espionner en secret ou a essayer de refaire sa vie pour qu'elle ait un minimum d'attention. alors tu marches. tu croise les doigts et continue de la fixer. « je suis prêt. dis moi ce que je dois faire. »
Âge : vingt-trois ans maggle Métier ou études : répandre la bonne parole et claquer l'argent de papa
Résidence : là où les dieux me mène Journal :
The God I decide to believe in is the God of the bathroom floor. A God of scandalously low expectations. A God who smiles down at a drunk on the floor, wasted and afraid, and says, There you are. I’ve been waiting.
Messages : 917 Crédits : night glow
Sujet: Re: addicted (ft.seo eden) 02.11.18 16:40
addicted ★ I’ll be shining on you everywhere (aesthetic) À certains instants tu as envie de lâcher les armes pour te perdre dans ses bras. Pour te laisser aller à goutter de nouveau au délice de ses lèvres et t’enivrer de l’odeur de sa peau qui t’as tant manqué. Puis tu te reprends. Tu repenses à ses longs mois d’absences. À ta solitude et à lui qui a sans doute su s’occuper, comme il sait si bien le faire, dans des bras Japonais. Cette simple idée te donner des hauts de cœur et les mots qui sortent de sa bouche n’arrange rien. Tu t’éloignes de lui alors ses doigts viennent suivre les traits de ton visage et que ses lèvres viennent effleurer les tiennes. Tu frissonnes avant de te reprendre et tes yeux viennent se poser sur l’horizon. La mer est agitée ce soir et tu te mets à te demander si ça n’aurait pas un quelconque rapport avec son retour. Tu finis par te retourner et c’est les bras croisés que tu le toises avant de finalement prendre la peine d’ouvrir la bouche. « J’ai rien à comprendre du tout Eden, je ne crois plus depuis bien longtemps aux leçons que tu peux bien donner ». Tu décroises finalement tes bras et réduis la distance qui vous sépare avant de venir poser ta main sur son épaule d’un air presque las. « Tu ne sais même pas ce que ça veut dire d’être un petit-ami alors j’ai dû mal à imaginer que tu puisses savoir ce que c’est d’en être un bon ». Ses mains se perdent dans tes cheveux et presque malgré toi tu viens les attraper pour les serrer dans les tiennes. « Mais ce n’est pas grave Eden.. je ne t’en veux pas » tu marques une pause avant d’ajouter dans un murmure « Ou en tout cas plus pour ça ». Oui tu t’es fait il y a déjà bien longtemps une raison vis-à-vis de ça. Tu sais bien qu’il ne sera sans doute jamais l’homme que petite fille tu rêvais d’épouser. Non, il ne sera jamais le prince charmant qui pose un genou au sol pour te passer la bague aux doigts et qui t’emporte sur son beau cheval blanc pour vivre des jours heureux. Le plus fou dans l’histoire c’est que tu as appris à aimer ça. Avec le temps tu pourrais presque dire que c’est peut-être même mieux ainsi : plus excitant, plus palpitant et pourtant sans nul doute aussi bien plus fatigant et éprouvant. Il est loin d’être un homme parfait. Loin même de pouvoir prétendre l’être un jour. Mais tu n’en as plus rien à faire. Malgré tous les défauts qu’il peut bien avoir et le mal qu’il a pu te faire une partie de toi à encore envie d’y croire. Après tout il est revenu… peut-être y a t-il encore une once d’espoir pour vous deux. « J’ai vraiment envie de te croire Eden… J’ai envie, mais j’ai peur » c’est bien la première fois que tu oses le lui avouer. @seo eden
Accueil
Le tee-shirt trois fois trop grandes d’Andy en guise de vêtements et une tasse de chaï brûlant dans les mains. Un seul leitmotiv : besoin de se détendre. La journée avait pourtant bien commencé : un grand verre de lait de soja, une galette de riz et une séance de méditation. Seulement dans cette routine si bien organisée, il avait fallu que tu jettes un coup d’œil à ton portable. Un snap. En soit pas de quoi alerté qui que ce soit. Seulement t’as bien cru que la terre était sur le point de s’arrêter de tourner quand t’as vu son nom apparaître sur l’écran. Eden. Un été passé loin l’un de l’autre. Pas une seule nouvelle et un snap presque venu de nulle part. T’as d’abord jeté ton portable dans un coin sans même prendre le temps d’ouvrir le message. Sentant déjà la colère t’envahir, t’avais opté pour l’option détente dans un bon bain chaud. Mais rien à faire. Pas même la mousse senteur rose éternelle n’avait réussi à te calmer. Ce putain de petit onglet violet qui avait fini par t’obséder. Alors t’avais fini par l’ouvrir pour tomber nez à nez sur ce sourire à la fois délicieux et détestable. Foutu snap. J’suis rentré. Pas plus pas moins. Du Eden à l’état pur me direz-vous. Exécrable et pourtant envoûtant. Un seul petit snap et voilà qu’en l’espace d’une demi-seconde il avait réussi à redevenir le centre de tes pensées. Qu’avait-il bien pu faire pendant tout ce temps ? Qu’attend-il de toi ? Et pourtant cette fois-ci tu avais décidé de lutter contre tes vieux démons. Tu t’étais d’abord éloigné de ton portable pour te la jouer silence radio dans le simple but de lui rendre la monnaie de sa pièce. Puéril ? Peut-être un peu, mais à tes yeux à la hauteur du phénomène nommé Eden. Puis laissant quelques heures passées tu t’étais finalement décidé à répondre en deux mots : et alors ? Parce que c’était bien de ça dont il était question. Qu’est-ce que son retour allait bien pouvoir changer ? La distance creusée entre vous n’allait, à tes yeux, pas pouvoir se réduire avec un simple je suis rentrée et tu comptais bien lui faire passer le message. Juste un et alors et une grande tasse de chaï, pas plus, pas moins. Seulement tu te doutais déjà bien qu’il ne se contenterait pas de ça. Des années de pratique en la matière t’avaient appris que son message n’était sans doute qu’un premier contact histoire de mettre tes sens en éveil. Pari réussi. Réveiller les vieux démons pour mieux réactiver la flamme. Oh oui tu le vois déjà arrivé avec ses grands yeux et ses sourires enjôleurs. Tu secoues la tête préférant te noyer dans ta tasse de thé. Puis il apparaît dans l’encadrement de la porte et tu crois d’abord que ton cerveau de joue des tours. Bien évidemment, Seo Eden ne prend jamais la peine de s’annoncer en utilisant la sonnette. « Faut vraiment que je pense à changer le code de cette porte ». Pas un bonjour ni même un sourire, t’estimes qu’il ne le mérite pas ou du moins pas encore. 
et alors. quel audace. quel affront. si bien que ta bouche reste ouverte encore un moment. tu aimerais briefer un moment sur ce qu'il vient de se passer mais tu ne peux pas tant le dédain de la jeune effrontée te laisse pantois. pendant un moment, tu sers ton smartphone en bredouillant des injures au destinataire de ta mauvaise humeur avant de réfléchir à un plan machiavélique signé seo eden. un qui te correspond bien et qui remettrai la hiérarchie en ordre. tu attrapes ta veste et ferme derrière toi sans piper un mot. maquillant ta fuite dans les crissements de ta voiture tu finis par arriver devant l'appartement d'eve. et quand bien même vous vous connaissez depuis longtemps, tu ne parviens pas à cerner son arrogance en même temps que ses menaces avant ton départ. qu'en est-il ? alors tu avances d'un pas mi-décidé mi-corrompu par tes pincements au coeur et ouvre violemment la porte. tes pas se lissent presque sur le sol tellement tu as peur de ne pas déranger. tu avance encore un peu faisant glisser tes doigts sur le mur, comme si tu te ré-imprégne de cette maison. enfin tu finis par être face à la raison de ta torpeur, l'objet du culte de l'incompréhension, la définition du malaise. tu soupire entendant sa seule parole. « ouais salut, ça va aussi et toi du coup, quoi de beau ? ouah merci du compliment pour mes ch'veux j't'avoue j'assume pas trop mais tranquille j'vais changer. ouais bah écoute j'étais parti au japon baaaaaah voilà joli paysage les geisha sont grave bonnes quoi qu'un peu prude mais bon. » mains dans les poches, tu te laisse charmé pour t'approcher assez proche d'elle en lui prenant des mains le chaï que tu recrache aussitôt en tirant la langue. « j'constate qu'on reste toujours sur tes trucs de gonzesses. tu peux pas prendre du pepsi ou du soju comme tout le monde ? » sans lui laisser le temps de répondre, tu lui attrape gentiment le col de son t-shirt. bizarre, ce n'est pas le style vestimentaire, en tout cas le style de grand t-shirt qu'elle prend d'habitude. tu arque un sourcil sans la regarder. tu t'interroge sur ses fréquentions puis relâche la pression sur le col en t'accroupissant devant elle. « je t'ai manqué au moins ? désolé j'ai pas vraiment pensé à te prendre un cadeau, j'me suis dis que tu me préférais mort qu'avec un cadeau donc j'ai tout dépensé pour mei. » tu lui souris lentement avant de lâcher un petit rire en voyant sa tête sans expression. on dirait que cette séparation la rendu beaucoup plus forte... 