jeon noa

groupe social : rainbow shot
Featuring. nam joo hyuk.

Les Anecdotes comme un loup solitaire, tu refoules encore tant bien que mal cette haine qui t'animes, cette colère qui t'a déjà poussé à faire des choses que tu regrettes. tu vis dans la culpabilité depuis tant d'année déjà qu'elle représente désormais le goût amer de ton quotidien. tu es toujours une bête sauvage, indomptée et indomptable, dès qu'on t'approche tu sautes à la gorge, tu mords, tu lacères et tu dévores. on t'a abandonné, né sous x et autiste de surcroît. et tu as toujours ressenti de rechercher ton paternel, ce qui te sers de lien biologique, ce lâche, qui n'a même pas connaissance de ton existence pathétique ; tu veux lui faire payer. de toute façon, tu pensais n'avoir rien n'a perdre. tu passes ton temps à te faire passer pour un idiot, refoulant toutes tes idées noires. tu l'auras ta putain de vengeance, mais tout viens à point qui sait attendre. ce n'était pas le moment. alors tu grandis comme un misérable, vivant ta vie en foyer, en refusant toute forme d'attache ou d'aide. quand on te tendait la main, tu arrachais tout le bras. personne n'a jamais pu supporter ton tempérament, tu leurs a pourri volontairement l'existence, on ne t'a alors jamais adopté. tu veux t'en sortir par toi-même, ne jamais rien devoir à quiconque sur cette foutue terre. avec ton problème d'autisme à la con, tu ne sais pas te comporter normalement en société. tu ne comprends comment ça fonctionne, tu ne cherches pas non plus à comprendre. les autres sont pour toi un grand mystère, et ça te prend la tête plus qu'autre chose alors tu te contentes du strict minimum, utilisant la facette du mec qui s'en branle.  t'es naturellement un hyperactif, un sanguin, un petit con d'égoïste, tu n'as aucune attache si ce n'est pour ta pseudo famille, celle que tu t'es crée de toute pièce. fictive mais plus sincère que jamais, tu t'es imaginé un jour sortir de la misère, avec tes quatre ou cinq potes que tu considère comme tes frères. ils sont comme toi, ils comprennent, ils ont grandis à tes côtés, ils ont essuyé le sang au bord de tes lippes fendues, ils t'ont défendu comme si c'était à eux de mourir à ta place. une fidélité et une loyauté que peu de gens pourraient comprendre. mais malgré tout, t'es un putain de menteur, un manipulateur. tu sais bien cacher tes malheurs, si bien que toi même tu as apprit à les ignorer, tu fais avec. et tu continues de porter un large sourire charmeur, étendre tes lippes pour draguer n'importe qui et avoir un peu d'attention, d'affection dans un lit douillet. tu t'arranges toujours pour en faire le moins possible, et surtout si on peut tout te payer à ta place tu ne vas pas passer outre. alors c'est un peu faux, parce que t'es un putain de gueulard, tu te gênes pas pour dire ce que t'as à dire, que ça blesse ou pas. mais pour ce qui est de montrer tes faiblesses, tu sais mentir à tout le monde, mais surtout à toi-même. tu veux tellement rien devoir à personne que depuis que tu as douze ans, tu travailles. souvent des jobs dangereux, au bord de l'illégalité. t'es un putain de rebelle, une bête sauvage, mais aussi un incapable, un égoïste, mais au moins t'en a dans le ventre, t'as de l'audace.

« c'est un peu comme si t'étais avec moi, j'ai moins peur... c'est l'chaos dehors, j'me bats contre mes poches vides. t'as coincé les doigts dans la porte de mon cœur... j'dis n'importe quoi mais tu vois où j'veux en venir. »

sauvage et solitaire, tu te sens comme une bête en cage, emprisonné par tes propres démons dans ta tête. tu refuses de t'attacher à autrui, tu te contente d'entre cuisses, de losanges roses. tu essayes d'oublier en t'occupant, tu trouves l'affection, l'amour dans le bras d'inconnues. des femmes qui n'aiment chez toi que ton physique, et dont tu ne demandes même pas le nom. tu ne t'es autorisé d'aimer qu'une seule fois, une femme que tu ne semblais pas mériter, hors d'atteinte. elle était dans ta classe, belle, douce et populaire ; la tentation. et toi t'étais le connard de service, le mec incapable de se contenir, qui traînait déjà avec n'importe qui, incapable de vivre sans se foutre dans la merde. et tu aimais son côté rebelle, je m'en foutiste, celui que personne ne pouvait soupçonner. et tu t'es laissé allé. t'aurais jamais du, tu l'as regretté. malchanceux et paumé de la vie, tu ne sais pas ce que c'est le réel bonheur. il n'a jamais duré plus de quelques heures. alors tu t'es habitué, tu prends ces foutus cachetons bleus, tu sais que ça finira par te tuer. mais t'es pas capable de trouver le sommeil autrement, t'es pas capable d'atténuer ta haine. tu n'aime pas l'être humain, tu le détestes. tu aimes les chats, tu leur vouent un culte, tu te ruinerais pour sauver ceux de ton quartier. si tu te contente de manger une fois par jour des nouilles, à dormir dans une piaule médiocre, à porter toujours les même vêtements abîmés, tu ne peux te résoudre à les laisser mourir de faim. tu as toujours vécu dans la pauvreté, dans les bas quartier de busan. tu connais tout les endroits les plus dangereux, tu sais ce qu'il s'y passe, t'as même déjà traîné avec les pires enfoirés de la ville. tu détestes tout ce que tu vois, alors tu t'évades à ta manière. le cybercafé, les jeux-vidéos, le poker... à tout ça tu joues trop, t'es addict et t'as aucune limite. il y a encore quelques année, quand tu étais un enfant, tu rêvais encore. tu pensais devenir footballeur, tu voulais t'en sortir comme ça. mais la vie en avais décidé autrement, lors d'une sortie scolaire, ton foutu karma s'est encore foutu de ta gueule. à croire que quelqu'un s'acharne sur toi, on t'as jeté un maléfice. tu as survécu à un effondrement d'immeuble, six jours sous des décombres, une barre de fer en travers de ton tibia. certains diront tant mieux, qu'au moins tu n'es pas mort, et toi tu te demandes surtout pourquoi on a pas abrégé tes souffrances ce jour là. dévoré par tes psychoses depuis cet accident, tu ne sais plus ce que c'est de dormir sans terreur nocturnes. tu as vu des horreurs qui t'on marqué, tu as si peur des hauteurs, des endroits sombres et clos. et pourtant tu n'as fait que des jobs qui te mettaient en danger. tu tiens grâce à tes cachets bleus, t'es lamentable.

Le caractèrecoléreux ; impulsif ; turbulent ; susceptible ; insolent ; beau parleur ; malchanceux ; rebelle ; désordonné ; je m'en foutiste ; franc ; manque de tact ; taquin ; émotif ; fier ; possessif ; égoïste ; impatient ; sens de la justice ; indépendant ; nerveux ; sanguin ; solitaire ; têtu ; instable ; curieux ; observateur.

tu as un caractère de bête sauvage, une panthère indomptable, éternellement indomptée. ta rage et ta haine ne semble avoir aucune limite, et tu t'exprime avec tes poings, avec tes hurlements. t'es sanguin, tu réagis au quart de tour sans réfléchir, et comme tu comprends pas ce que c'est d'avoir un coeur, des sentiments, tu blesses, tu offusques et tu provoques. t'as aucun tact et ta franchise en deviendrait presque un défaut, tant ça te rend coléreux, impulsif, insolent. tu sors les crocs à la moindre occasion, repoussant tout ceux qui te tendent la main. un rejet des autres, une impulsivité à toute épreuve. tu ne veux rien devoir à personne, tu n'as pas besoin d'aide que tu confonds trop souvent comme de la pitié.
tu n'as pas besoin d'affection, du moins pas plus que de chauffer les draps l'espace de quelques heures en compagnie d'une inconnue. tu es un loup solitaire, tu veux contrôler ta vie, tu ne veux avoir aucun regrets. tu fonces tête baissé, n'ayant de foi qu'en ta propre conscience, à tes valeurs et tes principes.
on voit trop souvent en toi un mauvais garçon, parce qu'on ne cherche jamais à te connaître - ou du moins tu ne laisse personne voir certaines facettes de ta personnalité. ça te fatigue, et tu détestes être faible. mais tu n'es pas le dernier des idiots, tu as aussi un grand sens de la justice et de la loyauté que l'on sous-estime, voir qu'on oublie. tu donnerais tout pour les seules personnes que tu estimes et bordel ce qu'ils ont du insister pour arriver là.
tu utilise souvent des facettes, en bon petit manipulateur. même si tu prônes l'honnêteté, tu refuses qu'on puisses voir que rien ne va, tu veux toujours garder la mine du mec fort, qui n'a peur de rien, qui ne pleure jamais. tu te mens souvent à toi-même, et tu passes souvent pour un mec sans cœur, qui critique facilement mais surtout qui fait l'idiot, à draguer tout ce qui bouge. ça t'amuserais presque, tu sais que tu es beau, que tu plais, pourquoi tu ne devrais pas en profiter, prendre tes avantages physiques pour te sauver de situations gênantes, ou obtenir ce que tu désires? tu serais bête.
tu restes un égoïste de première qui n'a quasiment jamais eu l'occasion de donner aux autres. à chaque fois que tu as essayé, tu t'es brûlé les ailes et tu t'es senti trahi. alors désormais tu ne fais que ce qui t'arranges, tant pis pour les autres, après tout tu montrais assez les crocs, s'ils restent malgré tout c'est de leur faute, non? t'es pas un si mauvais gars au fond, mais il faut creuser longtemps, passer toute tes barrières et ignorer au maximum tout tes vilains défauts. si quelqu'un arrive à t'apaiser un jour, peut-être que cette personne créera une nouvelle personne, quelqu'un de meilleur.
ne serait-ce pas le comportement de quelqu'un qui appelle à l'aide? d'un faible qui veut être sauver, qui joue le rôle du méchant, qui se fiche d'être blessé. celui de quelqu'un qui a peur de la solitude mais qui s'isole lui même, par peur d'être blessé, abandonné à nouveau? tu veux quelqu'un qui t'aime comme tu es, qui ne perds pas patience, à qui tu pourras avoir confiance, une complicité. quelque chose d'unique, de fort. ne serait-ce pas là un garçon qui n'attend rien d'autre que quelque chose de fort qui chamboule les cœurs? noa, résonnes-toi.