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Bae Allen✦ N°2 #Friendzoned ✦ More informations ? Âge : 22 ans Birthdate : 01/10/1996 Métier ou études : Etudiant en Commerce international Résidence : Avec Aiden, quand je suis bourré je retrouve plus le chemin Côté coeur : Un délinquant amoureux contre nature de la justice ! Derrière les barreaux, son cœur bat comme un fou. Journal :
C'est la fête de trop!
Moi je l'ai faite, défaite et ça jusqu'au fiasco, c'est la fête de trop!
Regarde je luis de paillettes et me réduis au KO
Dans cette jeunesse abyssale je cherche mon idéal et je meurs Coincé entre un whisky coca et un shot de tequila, je meurs Du rhum à chez moi, je sens qu’il n’y a qu’un pas mais je meurs Ça y est je cherche la sortie, le sens de ma vie et je meurs
Sers toi un dernier verre. Je veux que tu finisses par terre. J’veux m’envoyer en l’air. Goûter l’atmosphère
EQUILIBRE #Aillen #Bae²
L'équilibre fragile quand on navigue entre les rives. Je commence, tu termines L'orage nous tient immobiles
Comme l'enfant désemparé, j'essaye de te prendre dans mes bras, mais la porte claque, ma vie vient juste de voler en éclats. Et le silence me tabasse quand je n'entends plus ta voix. J'essaye de prendre la mesure de l'étendue des dégâts, mais c'est trop tard
"Les souvenirs me hantent, j'nous revois gamins, deux frères soudés comme les deux doigts d'la main ma vie est la tienne, frère, sèche tes larmes, non, j'connais personne de plus courageux. Et quand la solitude nous désarme, on fait comme on peut, on s'serre les coudes à deux"
LE BIEN QUI FAIT MAL #Daellen
Je ressens de violentes pulsions, j'ai l'impression de glisser vers le fond
Mais d'où vient l'émotion étrange qui me fascine autant qu'elle me dérange. Je frissonne poignardé par le beau c'est comme dans l'âme le couteau. La blessure traverse mon cœur et j'ai la joie dans la douleur. Je m'enivre de ce poison, à en perdre la raison.
C'est le bien qui fait mal quand tu aimes tout à fait normal. Ta haine, prend le plaisir. C'est si bon de souffrir. Succombe au charme, donne tes larmes
BROMANCE #ShinLen
Blessures m'ont bousillé l'crâne mais si j'dois sécher tes larmes j'irais plonger dans le cerceau, me jeter dans les flammes pour t'aider à retrouver l'calme que les mauvais sorts nous épargnent
Montre aucun signe de faiblesse, sois précoce, l'école nous enferme, bien sûr qu'on décroche. C'est donnant-donnant, violent-violent, je sais, c'est dur, accroche-toi d'toutes tes forces. Ici, c'est gagner l'respect sans dire "merci", baiser les règles et faire jouir cette vie. Quand violence fait loi, le climat s'dérègle, là où l'aveugle est roi, le témoin est bègue. Sûrement qu'on manquait p't-être d'un cadre mais fuck les mises en garde, on s'fout d'leurs avis. Moi, j'm'étonne même plus quand tu pètes un câble sans capter qu'tu peux y laisser ta vie
POUR LA NUIT #JunLen
Du mal à s'accorder, on joue pas les mêmes partitions. On marche seuls ensemble, chacun campé sur sa vision. D'un côté, y'a le sexe, de l'autre les sentiments
Dans l'fond, l'amour c'est quoi ? C'est quelques soubresauts. Une passion qui t'dévore suivie d'un long jour de repos. On cherche plus à faire d'efforts, après l'amour, on s'tourne le dos. On triche, on bluffe, on joue à s'aimer pour de faux. Puis, vient l'instant où t'as bouclé la boucle de trop. C'coup-ci, tu l'sens qu'l'arrêt du cœur est imminent. N'entends-tu pas tous ces battements qui vont tous en diminuant ?
Messages : 987 Crédits : queenshady | | Sujet: Love is a bitche (Daellen) 25.10.18 13:50 | |
'Cause heartbreak is savage and love is a bitch (Theme) (vêtements)Le retour n'avait pas été simple, rien n'avait plus été simple depuis très longtemps, tout a l’intérieur de toi continuais de s'entrechoquer, de se mélanger, tu en venais à ne plus comprendre ce que tu pouvais bien ressentir, tout se contredisais. Tes envies, tes peurs, tes sentiments, tes rancœurs. Un tristesse permanente mélangée a une colère sans limite. Tu déprimes Allen, tu te lèves le matin sans savoir pourquoi tu voudrais t’endormir pour toujours, ne plus te réveiller. Ne plus subir tout ça. Tu voudrais continuer à fuir ... Mais tu ne peux pas. Face à face avec Jun ... Tu avais passé un horrible moment, tu n'as pourtant été accusé de rien, mais sans que cela ne le soit, tu avais l'amère sensation de vivre une rupture, la fin de quelque chose qui te tenait a cœur. Et le pire, si cela avait été si horrible, c'est parce que malgré tout, tu avais la sensation désagréable d'avoir été le seul à l'avoir vécu de cette façon. Qu'ils aillent tous se faire foutre ... Tes relations étaient dans un chao le plus total. Tu avais même peur d'affronter Ji Moon après tout ce qu'ils s’étaient passé entre vous. Tu ne voulais pas lui faire du mal, mais tu savais que ce serait inévitable. Il y a une personne que tu voulais voir, après tout ce temps, après tout ces non-dit ... Tu étais presque prêt à accepté le fait que tu ne faisais pas que le détester. L’évidence aux yeux de tous commençait a l’être pour toi aussi. Mais tu savais ... tu savais que dans un sens tu voulais le voir dans l’unique but de te défouler un peu, tu n'avais rien à prouver d'après toi ... ni a lui, ni à toi même. Pourtant, tu étais partagé entre l'envie presque obsessionnel de le voir pour qu'il te réconforte comme il le faisait toujours, et la peur angoissante d'entendre ce qu'il avait à te dire et qu'il n'avait pas voulu te dire au téléphone. Alors, ne sachant toujours pas ou il habite, comme dans un souvenir nostalgique, tu pousses la porte du commissariat, priant pour qu'il soit là. Tu te diriges vers son bureau. Tu respires un coup, le cœur en miette, le corps presque tremblant. Tu voulais lui foncer dessus. Mais tu ne le ferais pas. Tu avais changé ... Ton apparence était plus négligée, tes traits bien plus fatigués. Tu pousses la porte sans toquer ... C'est toujours comme ça, tu t'imposes. Et tu le vois, ton cœur se serre, ton ventre se retourne. Il ne savait pas que tu rentrerais ... Surprise. « Ta vie semble d'un ennui ... »Tu ne peux t’empêcher de le lyncher un peu, parce que c'est évident que tu dois le faire. Tu ferme la porte derrière toi, le teint pale, les cheveux en bataille. Et alors ... Tu ne peux t’empêcher de penser a ce que ton frère t'as dis quelques jours avant ça ... Il avait pris ton jumeau dans ses bras, lui non plus n’étais pas capable de faire la différence entre Aiden et toi. « Surprise ... Je suis rentré ! »Que tu dis avec beaucoup de sarcasme, la froideur de ta voix donnais l'impression que tous vos messages échangés, ta voix douce au téléphone lorsque vous vous appeliez, n'avais jamais existé. Comme si le Allen d'il y a quelques semaines n’étais plus là. Tu mourrais d'envie qu'il te sert dans ses bras, tu voulais lui dire que tes sentiments pour lui avait peut-être évolué. Mais tu venais de te faire rejeter et la peur que cela ne recommence était encore plus forte maintenant que tu étais devant lui. Et puis ... Tu n'es plus sur de riens. « Tu voulais me parler de quelque chose ? » Oui ... Tu avais eu le temps de beaucoup y penser, tu voulais savoir maintenant que tu étais devant lui. Featuring : @Park Dae-Ho
gabi le loup |
| | | Park Dae-Hopolice man sexy. More informations ? Âge : vingt-sept ans. Birthdate : 13/07/1991 Métier ou études : il fait régner la loi en tant que policier. Résidence : nam-gu, petit duplex vue sur mer, elle est belle la vie, elle est douce et paisible. Côté coeur : fiancé avec sa meilleure amie pour un mariage arrangé. candidement amoureux d'un prince plus jeune qui défi les lois qu'il souhaite faire régner. Journal : Messages : 910 Crédits : avatar (nightblood) + gifs (trumblr) | | Sujet: Re: Love is a bitche (Daellen) 03.11.18 0:38 | |
'Cause heartbreak is savage and love is a bitch (Theme) (vêtements)Pluie de travail. L'esprit occupé à ressasser les documents plutôt qu'à penser à d'autres choses plus importantes encore. Souvenirs périlleux d'un mariage tant redouté et d'un amant inavoué. Des parents qu'il se vouait à éviter autant que la discussion d'une date fixée, sa fiancée juste à côté. Tout était devenu plus compliqué en quelques mois seulement. Un rien qui avait semblé lui échapper entre les doigts. Et l'impression constante qu'il ne pouvait pas se rattraper en pleine chute parce qu'il manquait un parachute derrière son dos. Qu'importait la solution qui se présentait à lui, il sentait venir une vague plus forte encore. Alors il était là Dae-Ho, il attendait sagement muni d'un stylo à la main et les papiers qu'il remplissait comme toujours. Le silence.Café en main et la boisson qui coulait le long de son œsophage. Esprit ailleurs et pour une fois sans doute, la joie au cœur de retourner au chaud chez lui quand l'hiver commençait petit à petit à s'installer sur la côte de Busan. Pays de Morphée qui l'attendait depuis longtemps déjà, les heures à tourner dans le lit en rond et les yeux toujours levé au ciel sans ne plus pouvoir penser autrement qu'à des solutions pour se sortir de là. Un véritable calvaire. Et les minutes qui semblaient n'être plus qu'un tapis d'heures plutôt que de seconde. Le tournant d'une vie qui ne voulait plus vivre. Car alors il devait assumer ce qu'il ne voulait ni entendre ni comprendre. Ramassis de complications.La tête plongée dans les feuilles et les notes digne d'un médecin trop pressé sans doute ; trop concentrer pour entendre le son de la porte se refermer en claquant de son action. Et les yeux qu'il avait dangereusement relevé que lorsqu'une voix avait résonné dans la pièce. Une voix qu'il pouvait reconnaître entre mille aujourd'hui. Cette même voix qui insupportait autant qu'il aimait l'entendre. Et son cœur qui se resserrait à cette simple pensée : Allen. Encore un rêve. Une illusion.« Ne te fais pas avoir Dae, c'est la fatigue … Toujours la fatigue. » Parce que ça le rendait fou de ne plus avoir de nouvelles, d'enchaîner les heures sans prendre la peine d'aller simplement aux toilettes, d'écrire encore et encore sur des papiers plutôt que de se rendre sur le terrain. D'autres choses encore qui lui échappaient. Alors il avait inlassablement replongé la tête dans ses documents sans prêter attention au garçon. Un long soupir d'épuisement et la sonnerie de son téléphone qui marquait la fin de son service, de sa journée. Alors il relevait la tête machinalement, retrouvait ce même visage qu'il avait tant imaginé. Désillusion.Et les yeux qui s'écarquillaient naturellement. Mains déjà moites à cette simple pensée quand il se mordait la lève, se claquait, se donnait des baffes intérieurement. « Allen … » Et la grimace face à cette « surprise » qu'il venait de lui faire. Sentiment de bouillir. Il voulait exploser Dae-Ho. Voulait autant disparaître qu'exploser. Parce qu'il avait dû le prendre pour un idiot avant de penser qu'il l'avait déjà oublié. Mais il n'y avait jamais eu rien de tel. Chaque minutes écoulées à s'imaginer le retrouver … Se perdre à tenter de l'oublier en vain. « C'est vraiment toi ? » Yeux humides. Il se sentait terriblement idiot d'être heureux de le retrouver. Terriblement idiot de penser à lui sans jamais s'arrêter. D'être devenu si dépendant. Le sourire qui se perdait l'instant d'après. Car alors ça ne lui ressemblerait plus, ne leur ressemblerait plus. Ils avaient comme un rôle à tenir ; toujours le même qui ne se perdait que quelques minutes au plus. S'il avait eu quelque chose à lui dire ? Et pas qu'un peu … Je suis marié, la phrase facile à dire dans le fond des pensées et qui se perdaient déjà en bouche. Alors forcément qu'il devait l'emmener ailleurs que dans un commissariat ou si une crise devait surgir … Pourquoi en ferait-il une au fond ? Est-ce que ce sentiment aussi agréable que désagréable dans le fond de la poitrine était réciproque ? Non, sûrement pas. Pensées noires qui s’enveloppaient à nouveau. « Ah ça … Oui mais, j'ai fini mon service alors je te raconte tout ça chez moi. » Ou ailleurs. Quelque part, loin d'ici. Visage sombre.Clés sur la porte et porte franchie. Il l'avait emmené là Dae-Ho. Et si on lui avait quelques mois avant qu'il l’emmènerait chez lui un jour, un simple sourire serait apparu sur le coin de ses lèvres avant qu'il n'explose de rire. Mais tout avait changé. Beaucoup trop changé. « Tu promets de ne pas t'énerver ? » avait-il demandé une fois assis sur le canapé. Le silence qui ornait la pièce, le salon d'une simple décoration … Et les photos d'un mariage qu'il se devait d'exposer au monde ; forcé par les parents. « Promets-le-moi. » Comme un supplice. Il ne voulait pas le voir partir. Featuring : @bae allen
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Dernière édition par Park Dae-Ho le 16.12.18 19:52, édité 1 fois |
| | | Bae Allen✦ N°2 #Friendzoned ✦ More informations ? Âge : 22 ans Birthdate : 01/10/1996 Métier ou études : Etudiant en Commerce international Résidence : Avec Aiden, quand je suis bourré je retrouve plus le chemin Côté coeur : Un délinquant amoureux contre nature de la justice ! Derrière les barreaux, son cœur bat comme un fou. Journal :
C'est la fête de trop!
Moi je l'ai faite, défaite et ça jusqu'au fiasco, c'est la fête de trop!
Regarde je luis de paillettes et me réduis au KO
Dans cette jeunesse abyssale je cherche mon idéal et je meurs Coincé entre un whisky coca et un shot de tequila, je meurs Du rhum à chez moi, je sens qu’il n’y a qu’un pas mais je meurs Ça y est je cherche la sortie, le sens de ma vie et je meurs
Sers toi un dernier verre. Je veux que tu finisses par terre. J’veux m’envoyer en l’air. Goûter l’atmosphère
EQUILIBRE #Aillen #Bae²
L'équilibre fragile quand on navigue entre les rives. Je commence, tu termines L'orage nous tient immobiles
Comme l'enfant désemparé, j'essaye de te prendre dans mes bras, mais la porte claque, ma vie vient juste de voler en éclats. Et le silence me tabasse quand je n'entends plus ta voix. J'essaye de prendre la mesure de l'étendue des dégâts, mais c'est trop tard
"Les souvenirs me hantent, j'nous revois gamins, deux frères soudés comme les deux doigts d'la main ma vie est la tienne, frère, sèche tes larmes, non, j'connais personne de plus courageux. Et quand la solitude nous désarme, on fait comme on peut, on s'serre les coudes à deux"
LE BIEN QUI FAIT MAL #Daellen
Je ressens de violentes pulsions, j'ai l'impression de glisser vers le fond
Mais d'où vient l'émotion étrange qui me fascine autant qu'elle me dérange. Je frissonne poignardé par le beau c'est comme dans l'âme le couteau. La blessure traverse mon cœur et j'ai la joie dans la douleur. Je m'enivre de ce poison, à en perdre la raison.
C'est le bien qui fait mal quand tu aimes tout à fait normal. Ta haine, prend le plaisir. C'est si bon de souffrir. Succombe au charme, donne tes larmes
BROMANCE #ShinLen
Blessures m'ont bousillé l'crâne mais si j'dois sécher tes larmes j'irais plonger dans le cerceau, me jeter dans les flammes pour t'aider à retrouver l'calme que les mauvais sorts nous épargnent
Montre aucun signe de faiblesse, sois précoce, l'école nous enferme, bien sûr qu'on décroche. C'est donnant-donnant, violent-violent, je sais, c'est dur, accroche-toi d'toutes tes forces. Ici, c'est gagner l'respect sans dire "merci", baiser les règles et faire jouir cette vie. Quand violence fait loi, le climat s'dérègle, là où l'aveugle est roi, le témoin est bègue. Sûrement qu'on manquait p't-être d'un cadre mais fuck les mises en garde, on s'fout d'leurs avis. Moi, j'm'étonne même plus quand tu pètes un câble sans capter qu'tu peux y laisser ta vie
POUR LA NUIT #JunLen
Du mal à s'accorder, on joue pas les mêmes partitions. On marche seuls ensemble, chacun campé sur sa vision. D'un côté, y'a le sexe, de l'autre les sentiments
Dans l'fond, l'amour c'est quoi ? C'est quelques soubresauts. Une passion qui t'dévore suivie d'un long jour de repos. On cherche plus à faire d'efforts, après l'amour, on s'tourne le dos. On triche, on bluffe, on joue à s'aimer pour de faux. Puis, vient l'instant où t'as bouclé la boucle de trop. C'coup-ci, tu l'sens qu'l'arrêt du cœur est imminent. N'entends-tu pas tous ces battements qui vont tous en diminuant ?
Messages : 987 Crédits : queenshady | | Sujet: Re: Love is a bitche (Daellen) 14.11.18 1:43 | |
'Cause heartbreak is savage and love is a bitch (Theme) (vêtements)Il ne te remarque pas tout de suite, il se parle même lui-même alors que tu te trouves la, devant cette porte fermée dans ton dos ... Il est sérieux ? Tu le fixes méchamment ... À quoi tu t'attendais franchement ? Ton cœur se sert douloureusement. Tu soupires et son téléphone sonne, il daigne lever son regard vers toi, un regard humide ... Qu'il ne te regarde pas comme ça. « Oui, c'est moi ... T'es déçu ? Tu me préfères en blond peut-être ? » Sentiment de jalousie qu'il ne comprendra peut-être même pas ... Le blond, c'est Aiden , pas toi. Et lui ... Lui, il l'avait pris dans ses bras. Tu sers les poings le long de ton corps, t'es a deux doigts d'exploser, c'est le même état depuis plusieurs mois maintenant, une bombe a retardement prête a tout dévaster. Il t'annonce que tu vas aller chez lui ... Chez lui ? Es-tu prêt a rentré dans sa bulle ? Ressens-tu le besoin de te sentir plus proche de lui ? Tu ne sais pas, l'espace d'un instant, tu paniques un peu dans le fond ... Qu'est-ce que cela voulait dire ? Ce qu'il avait à te dire était si important que ça ? Tu ne parvenais pas à voir les choses de manière positive, et cela ne faisais qu’accroître ce sentiment de rage. Tu aurais tellement voulu qu'il te prenne dans ses bras, après tout ce temps ... Mais il ne le fait pas, et tu n'as même pas le droit de t'en plaindre puisque tu ne lui as pas non plus donné l'impression de vouloir être aussi proche de lui. « Euh ... Ouai ok.. » Que tu te contentes de dire sans être vraiment sûr. Tu rentres dans l'appartement, c'est jolis, c'est simple et d'un coup, quelque chose te dérange. Il y a de la vie ici, quelque chose de chaleureux, quelque chose que tu ne connais pas. Des photos sur les murs, de la décoration simple, mais présente ... Non, tu ne sentais rien de bon arriver. Et tu vois, de loin, cette photo de lui, souriant avec cette fille à côté de lui ... est ce que tu as compris ? Non, tu refuses !! C'est sûrement sa sœur ... Le cœur battant a mille à l'heure, ton regard finis par briller un peu plus fort ... Pourquoi t'avoir emmené ici ? Tu restes assis à côté de lui, renfrogné, replier sur toi-même, comme un petit rat de laboratoire effrayé par ce qui pourrait bien lui arriver dans un endroit qu'il ne connaît pas. Ton regard se jette dans le siens lorsqu'il prend la parole. « Pourquoi je devrais m’énerver ? Je ne vois pas ce que tu pourrais bien me dire pour m’énerver. » Oh que si ... Tu vois très bien, rien que ton pressentiment fait déjà monter la rage en toi. « Aller ... Balance ce que t'as à me dire» Tu te sens si mal .. Prisonnier. Cette journée est définitivement vraiment pourrie. Featuring : @Park Dae-Ho
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| | | Park Dae-Hopolice man sexy. More informations ? Âge : vingt-sept ans. Birthdate : 13/07/1991 Métier ou études : il fait régner la loi en tant que policier. Résidence : nam-gu, petit duplex vue sur mer, elle est belle la vie, elle est douce et paisible. Côté coeur : fiancé avec sa meilleure amie pour un mariage arrangé. candidement amoureux d'un prince plus jeune qui défi les lois qu'il souhaite faire régner. Journal : Messages : 910 Crédits : avatar (nightblood) + gifs (trumblr) | | Sujet: Re: Love is a bitche (Daellen) 30.12.18 9:51 | |
'Cause heartbreak is savage and love is a bitch (Theme) (vêtements)Fatigue pesante, entre les dernières heures enchaînées et celles supplémentaires qu'on lui avait imposées par manque de personnel au bureau. Quelque temps sur le terrain et d'autres pour remplir la paperasse habituelle. Assez pour brouiller les esprits du brun, assez pour le déstabiliser face à une illusion qui n'en était pas une, finalement. Allen … Ce sentiment de manque qui complétait son âme. Cette envie furieuse de le retrouver qui l'avait tant animée et qui pouvait dès à présent vivre en lui. Le mirage qui disparaissait pour paraître plus réel que jamais. Alors forcément qu'une fois l'instant venu, les yeux humides au bord de larmes étaient arrivés à leurs tours. Vague d'émotions qu'il ressentait ; partagé entre colère d'un manque trop grand et un amour naissant qui pesait lourd. Lourd sur la conscience. Un fardeau qu'il devait assumer, qu'il assumait sans le faire. Parce qu'il ne savait pas comment aller réagir Allen. Et là était tout le problème. Il ne comprenait même pas sa réflexion sur le blond et le brun. À ses yeux, rien n'avait de sens. Alors il n'avait plus rien dit. Gorge nouée quand il lui avait reparlé de cette fois où il lui avait dit avoir quelque chose à avouer. Pourtant dans l'immédiat … Il n'y avait rien. Rien qui justifiait un « je suis fiancé » ou un « je vais me marier très prochainement ». Ils se retrouvaient et le moment semblait propice aux embrouilles, déjà. Encore et toujours.« Tu… Tu veux quelque chose à boire ? » Retardé le moment. L'éloigner un peu plus, et pourtant le poids du pesant plus lourd encore. Ça avait été stupide de sa part d'intervenir autant dans la vie du plus jeune. Et aujourd'hui plus que jamais, il en payait le prix. Sauver des vies ou faire la vivre la justice dans le pays ; il aurait dû s'arrêter là. Le rejeter quand il l'avait embrassé et ne plus jamais recommencer … Tant de choses sur la conscience et encore d'autres à venir – certainement. Mais c'était déjà trop tard. Sentiments trop lourd, trop grand … Immense. « Allen, je … » Les larmes faciles, trop sans doute. Assez pour inquiéter le brun plus encore qu'il ne l'était déjà. Et déjà oui, il voyait la rage dans son regard. Regard qu'il cherchait pourtant désespéramment en trifouillant ses mains. « Je suis désolé. » avait-il réussi à dire. « Désolé pour tout ça … Je suis désolé, vraiment désolé. » Encore et encore, qu'il lui répétait. C'était presque plus facile à dire que le reste. L'eau coulait, presque comme un ruisseau. Torrent de larmes qu'il essuyait - en vain. Depuis quand est-ce qu'il n'avait pas pleuré ainsi ? Un enfant ou son contraire. Et même s'il essayait de se consoler, de se dire que tout ira bien … Ça n'allait toujours pas. Car la peur plus grande encore. De voir le garçon s'énerver. De le voir fuir. De ne plus jamais le recroiser. Tellement de frayeur au même instant. Tellement d'émotions incontrôlables qui arrivaient en masse. Mais il devait lui dire, n'avait pas le choix. Il avait déjà tant tardé. Alors il avait doucement soupiré. La voix légèrement tremblante en cherchant une dernière fois le regard de l'autre. Sa main qu'il avait timidement passée dans la sienne ; se rassurer. « Dans ma famille, ils ont pris l'habitude de tout décider à ma pla… Place. Je suis fils unique et je n'ai pas vraiment mon mot à dire. » Comme une justification. Mais rien ne pouvait le justifier réellement. L'attente faisait bouillir Allen de l’intérieur, il le savait Dae-Ho. « Ce que je veux dire par là c'est que … » Et il avait hésité, une dernière fois. À l'embrasser ou le serrer dans ses bras, une dernière fois. Car c'était comme s'il faisait le récit de ses dernières paroles. Comme s'il s'enterrait lui-même, au fond. « Allen, je suis fiancé. Je vais me marier. » Coup fatal. Featuring : @bae allen
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Dernière édition par Park Dae-Ho le 31.12.18 11:32, édité 1 fois |
| | | Bae Allen✦ N°2 #Friendzoned ✦ More informations ? Âge : 22 ans Birthdate : 01/10/1996 Métier ou études : Etudiant en Commerce international Résidence : Avec Aiden, quand je suis bourré je retrouve plus le chemin Côté coeur : Un délinquant amoureux contre nature de la justice ! Derrière les barreaux, son cœur bat comme un fou. Journal :
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Moi je l'ai faite, défaite et ça jusqu'au fiasco, c'est la fête de trop!
Regarde je luis de paillettes et me réduis au KO
Dans cette jeunesse abyssale je cherche mon idéal et je meurs Coincé entre un whisky coca et un shot de tequila, je meurs Du rhum à chez moi, je sens qu’il n’y a qu’un pas mais je meurs Ça y est je cherche la sortie, le sens de ma vie et je meurs
Sers toi un dernier verre. Je veux que tu finisses par terre. J’veux m’envoyer en l’air. Goûter l’atmosphère
EQUILIBRE #Aillen #Bae²
L'équilibre fragile quand on navigue entre les rives. Je commence, tu termines L'orage nous tient immobiles
Comme l'enfant désemparé, j'essaye de te prendre dans mes bras, mais la porte claque, ma vie vient juste de voler en éclats. Et le silence me tabasse quand je n'entends plus ta voix. J'essaye de prendre la mesure de l'étendue des dégâts, mais c'est trop tard
"Les souvenirs me hantent, j'nous revois gamins, deux frères soudés comme les deux doigts d'la main ma vie est la tienne, frère, sèche tes larmes, non, j'connais personne de plus courageux. Et quand la solitude nous désarme, on fait comme on peut, on s'serre les coudes à deux"
LE BIEN QUI FAIT MAL #Daellen
Je ressens de violentes pulsions, j'ai l'impression de glisser vers le fond
Mais d'où vient l'émotion étrange qui me fascine autant qu'elle me dérange. Je frissonne poignardé par le beau c'est comme dans l'âme le couteau. La blessure traverse mon cœur et j'ai la joie dans la douleur. Je m'enivre de ce poison, à en perdre la raison.
C'est le bien qui fait mal quand tu aimes tout à fait normal. Ta haine, prend le plaisir. C'est si bon de souffrir. Succombe au charme, donne tes larmes
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Blessures m'ont bousillé l'crâne mais si j'dois sécher tes larmes j'irais plonger dans le cerceau, me jeter dans les flammes pour t'aider à retrouver l'calme que les mauvais sorts nous épargnent
Montre aucun signe de faiblesse, sois précoce, l'école nous enferme, bien sûr qu'on décroche. C'est donnant-donnant, violent-violent, je sais, c'est dur, accroche-toi d'toutes tes forces. Ici, c'est gagner l'respect sans dire "merci", baiser les règles et faire jouir cette vie. Quand violence fait loi, le climat s'dérègle, là où l'aveugle est roi, le témoin est bègue. Sûrement qu'on manquait p't-être d'un cadre mais fuck les mises en garde, on s'fout d'leurs avis. Moi, j'm'étonne même plus quand tu pètes un câble sans capter qu'tu peux y laisser ta vie
POUR LA NUIT #JunLen
Du mal à s'accorder, on joue pas les mêmes partitions. On marche seuls ensemble, chacun campé sur sa vision. D'un côté, y'a le sexe, de l'autre les sentiments
Dans l'fond, l'amour c'est quoi ? C'est quelques soubresauts. Une passion qui t'dévore suivie d'un long jour de repos. On cherche plus à faire d'efforts, après l'amour, on s'tourne le dos. On triche, on bluffe, on joue à s'aimer pour de faux. Puis, vient l'instant où t'as bouclé la boucle de trop. C'coup-ci, tu l'sens qu'l'arrêt du cœur est imminent. N'entends-tu pas tous ces battements qui vont tous en diminuant ?
Messages : 987 Crédits : queenshady | | Sujet: Re: Love is a bitche (Daellen) 30.12.18 18:14 | |
'Cause heartbreak is savage and love is a bitch (Theme) (vêtements)« Non merci » Tu n'es pas là pour boire quoi que ce soit, d’ailleurs pourquoi tu es là ? L'envie malsaine de le voir après t’être pris un râteau, le besoin dévastateur de savoir ce qu'il avait à te dire ... Ça allait faire mal et plus te le regardais, plus tu en étais convaincu. Il hésite, il fait comme si de rien était, il retarde et toi t'es la, noyé dans ton impatience, l'estomac déjà noué Ton prénom articulé, son regard s'embrume, tu détournes le regard, tu ne veux pas voir ça, bien trop fragile encore, le cœur bien trop décomposé que pour pouvoir surmonter la vision de ce flic en train de se mettre a chialer. La rage monte en toi, a deux doigts de l'explosion. Il est désolé ? Mais désolé de quoi voyons ? C'est un sourire ironique qui se dessine sur ton visage ... Sale poulet. Il ne te doit rien de toute façon n'est ce pas ? Alors pourquoi ton cœur implose un peu plus ? Pourquoi ton souffle se coupe presque sous les assauts de colère et de tristesse. Et il se met à pleurer, des larmes qui te tordent les tripes autant qu'elles t’énervent ... Pourquoi il pleure ? Il n'a pas le droit de pleurer. Tu voudrais foncer sur lui, le prendre dans tes bras, mais en même temps, ta colère et ta haine son si dure à retenir ... Sa main glisse dans la tienne, et ça te fait mal ... Pourquoi ? Il s'excuse, il pleure et toi t'as l'impression de te faire rejeter encore et encore. Toujours plus. Et il reprend la parole ... non, tu veux pas entendre, tu t'en fou de ce qu'il à dire finalement, c’était juste un prétexte pour venir le voir après avoir passer l'après midi a pleurer. Il est fiancé ... Comment ne pas s'y attendre ? ... Ta respiration s'accélère, ta colère monte en flèche, tu deviens complètement fou, cette journée est tellement pourrie, merdique. Ton sang pulse dans tes veines avec férocité. Tu lâches sa main, tu sens ta gorge qui se sert et t'as envie de te remettre a pleurer comme une victime ... Mais non, la colère, c'est tout ce que tu ressens, une colère si intense que ça te fais mal au crâne. « Et alors ? Qu'est-ce que j'en ai à foutre de ta vie ? Ce n'est pas comme si ... » Ta gorge se bloque ... Ce n'est pas comme si t’espérais pouvoir l'embrasser encore ... C'est pas comme si t'avais encore envie de vivre cette relation étrange avec lui ... N'est ce pas ? « Ce n'est pas comme si j’étais concerné par tes problèmes de merde. » Nerveusement, tu te mets a rire, un rire qui vire vite aux larmes ... Des larmes de haine, de rage. « CE N'EST PAS COMME SI TU COMPTAIS POUR MOI PUTAIN ... » Tu lui cries dessus, tu cries pour te défouler, pour laisser s’échapper ce que tu ressens. La douleur te retourne le ventre. Tu le regardes enfin ... Quel bâtard. Et tes larmes redoublent ... Enfoiré. « ALORS POURQUOI TU M'AS, EMBRASSE EN RETOUR ? POURQUOI TU NE M'AS PAS REJETE DES LE DÉPART ? .... Pourquoi tu m’appelais ??? HEIN ???» Tu l'attrapes par le col , menaçant , t'as envie de le frapper si fort , t'as envie de lui faire payer pour toutes les douleurs que tu ressens , t'as envie de lui faire payer pour Jun , pour Aiden , pour Shin , Pour Mihi ... Tu veux le faire payer lui pour tout le monde parce que quand tu n'avais plus personne, il t'a donné l'illusion que lui serait là pour toujours .... Et il a menti ! Il a menti et maintenant, tu te sens encore plus mal. Menaçant, tu lui parles en le regardant désormais dans les yeux, un regard remplis de haine. « Tu te fais passer pour un sauveur, un saint ... le grand Dae Ho qui ramasse le pauvre Allen quand il finit torché dans une cellule ... Tu fais le mec bon, le vaillant et gentil policier .... De toute façon, il n'y a rien entre nous ... Absolument rien alors je ne vois pas pourquoi tu me dis ça .... » S'il n'y avait rien, tu ne serais pas dans cet état-là ... Ça t’énerve encore plus d’être énervé. Sans cohérence, sans raison ... Tu l'embrasses, c'est violent, c'est hargneux, c'est méchant. Le corps tremblant de rage, de colère. Tu glisses ta main dans ses cheveux, tu le retiens vers toi, puis tu finis par le pousser, t'as envie de ça depuis tellement longtemps ... C'est ta dernière chance. Ton corps surplombant le siens, tes larmes encore fraîches sur tes joues. « Et ta meuf... Elle est au courant qu t'aimes bien t'enrouler des gamins de 22 ans ? » C'est qu'en plus ... Tu deviendrais sadique. Featuring : @Park Dae-Ho
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| | | Park Dae-Hopolice man sexy. More informations ? Âge : vingt-sept ans. Birthdate : 13/07/1991 Métier ou études : il fait régner la loi en tant que policier. Résidence : nam-gu, petit duplex vue sur mer, elle est belle la vie, elle est douce et paisible. Côté coeur : fiancé avec sa meilleure amie pour un mariage arrangé. candidement amoureux d'un prince plus jeune qui défi les lois qu'il souhaite faire régner. Journal : Messages : 910 Crédits : avatar (nightblood) + gifs (trumblr) | | Sujet: Re: Love is a bitche (Daellen) 31.12.18 12:12 | |
'Cause heartbreak is savage and love is a bitch (Theme) (vêtements)Silence assourdissant. Presque horrible à écouter quand il n'y avait rien à écouter. Mains qui s'échappent, reculent l'une de l'autre. Paroles prononcées, l'aveu soudain. Inattendue et pourtant sans grande surprise. Dae-Ho, il ne bougeait plus. N'osait plus rien faire. Nœuds dans le ventre. Boule à la gorge. Quelque chose qui restait bloqué, qui ne voulait pas sortir. Pas maintenant, en tout cas. Et il écoutait chaque phrase sortant de l'autre, son cœur qui se resserrait un peu plus à chaque fois. Comme une preuve de la réciprocité de leurs sentiments tués, inavoués. Une colère, une haine … Il s'y attendait. Seulement, est-ce que tout ça n'aurait pas été mieux si après l'aveu Allen n'avait pas simplement fui ? S'il avait dit que ça ne le concernait pas avec douceur ? Ou plutôt … S'il ne l'aimait pas comme il l'aimait maintenant. S'ils ne s'aimaient pas comme ils s'aimaient à présent. Pourriture.Dans les scènes qu'il s'était repassée en boucle dans sa tête, encore et encore ; le prendre dans ses bras jusqu'à l'apaisement, lui crier dessus à son tour qu'il n'était pas le seul fautif dans cette histoire, l'embrasser ou même lui dire les trois mots inespérés. Tant de solutions qu'il s'était vu offrir. Pourtant pas une seule qu'il reproduisait. Non, pas une seule. Et le silence. Presque stoïque. Pas un cil qui bougeait, seules des larmes qui coulaient. Sans jamais s'arrêter. Parce qu'après tout Allen avait raison. Parce qu'après tout, il n'y avait rien de bon chez lui. Pourquoi avait-il fait tout ça ? Agis de cette façon ? N'importe quel policier aurait cherché à refourguer le brun ailleurs, chez son collègue. N'importe qui aurait abandonné dès le départ. N'importe qui aurait souhaité le voir croupir en prison après qu'il ait pissé sur sa voiture personnelle, juste pour le plaisir. Mais Dae-Ho … Il avait vu la détresse derrière les conneries. S'était entiché bien avant qu'ils ne s'embrassent pour la toute première fois. Et c'était devenue comme une révélation. Fiancé bien avant ça pourtant, mais c'était peut-être parce que jamais il ne s'était imaginé aller aussi loin avec lui. Jamais ! Pourtant ils étaient là, Allen qui lui criant dessus quand lui ne bougeait plus. Le col empoigné mais jamais une réaction de sa part. Pas une seule. Les insultes du monde qu'il repassait en boucle.Comme un baiser forcé au goût d'une révélation. Il se laissait surtout faire Dae-Ho, presque impassible aux gestes violents du garçon. Bouillant de l'intérieur pourtant, car son cœur il n'en pouvait plus. Demandait plus encore … Frayeur d'une dernière fois surtout. De ne plus jamais le retrouver. De ne plus jamais le voir. Car il avait tout fait foirer ; cause d'un caprice. Alors quand le plus jeune l'avait poussé pour surplomber son corps peu après, il n'avait pas vraiment réfléchi Dae-Ho. Lèvres qui s'entrechoquaient à nouveau, supplice pour résonance. Danse royalement fougue entre les perles salées. « C'est pas d'elle dont je suis tombé amoureux. » Ce qu'elle pouvait dire ou faire, il s'en foutait. À cet instant et dans son cœur, seul le prénom d'Allen résonnait. Encore et encore. Featuring : @bae allen
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