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More informations ? Âge : 22 ans Birthdate : 13/09/1996 Métier ou études : 2ème année en commerce international & gestion d'entreprises Résidence : yeonge-gu Côté coeur : Mariée à Bae Aiden ♥ ; complices & psychopathes ensemble ✿ Journal : ❀ suivi rp ❀ phone ❀ private insta' ❀ mon snap' ❀ moodboard ❀
❀ En musique ❀
Let her breath, let her be, let her be free !
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« TIMOTHÉE »
You are my everything, my ray of sunshine. If you're hurt, I'm hurt. If you cry, I cry. But most importantly, if you need me to hide a dead body, I'll fucking hide the dead body
le prédéfini de Tim, c'est ici
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« AIDEN »
How did you get that way? I don't know
You're screwed up and brilliant,
Look like a million dollar man,
So why is my heart broke?
You got the world but baby at what price?
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« ALLEN »
Come and take a walk on the wild side
Let me kiss you hard in the pouring rain
You like your girls insane. Choose your last words,
This is the last time. 'Cause you and I
We were born to die
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« STATE OF MIND »
Cause I was filled with poison
But blessed with beauty and rage
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« TAEWOON »
You get ready, you get all dressed up
To go nowhere in particular
Back to work or the coffee shop
Doesn't matter 'cause it's enough
To be young and in love
« JAEJOON »
Baby, you understand me now?
If sometimes you see that I'm mad
Don't you know, no one alive can always be an angel?
When everything goes wrong, you see some bad
But I'm just a soul whose intentions are good
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@Yu Jin ; @Zhen Huan
Messages : 1975 Crédits : (c)Kelly ♥ | | Sujet: He's poison I'm dying to drink (( ft. Ryosuke ♥ 27.11.18 1:33 | |
He's poison I'm dying to drink Erotic Vandals, Scandalous Youth perle nacrée -- poudre irisée ♡ Drapée dans du Marchesa Notte de satin rose et aux plumes douces, le nez enluminé de doré Dior et parfumée d’une doucereuse liqueur Versace, Ji Moon replace une mèche de son chignon et vérifie que son blush plus cher qu’un abonnement cinéma n’a point bougé de ses joues. Un léger sourire se dessine sur ses lèvres et, après une longue inspiration, elle quitte la berline noire et referme derrière elle, saluant le chauffeur, les talons sur le tapis rouge déroulé le long de l’entrée, menton relevé et poitrine haute. Si certains trottoirs sont décorés d’un brouillard de fumée de cigarettes, on peut se dire qu’il y a en face du Paradise Hotel une brume d’Eau de Cologne et de parfums surpayés. Les flashs affluent, les micros sont jetés à bout de bras, les rictus sont comme des armes et les « sans commentaire » une fuite vers l’idylle promise au-delà de ses immenses portes. Derrière les gardes du corps, retenus pour insistance, encagés de gros bras, les paparazzi avec un budget monstre dans leurs Nikon pourtant fringués de leurs baskets sales et de leurs jeans trop larges. La jeune Eun ne délaisse pas même un regard dans leur direction, ainsi va la vie. Elle manie la politesse et la comédie avec perfection, des haussements d’épaules, de la timidité dosée et un brin de flatterie face aux interviewers assoiffés. Mais rien ne la perturbe et rien ne la fait flancher, hors de question de se ridiculiser pendant cette réception privée : Il en va de sa réputation en tant que future chef d’entreprise et actuellement, en tant qu’employée de la grande banque internationale de Monsieur Usami. C’était en parti grâce à ses parents qu’elle avait décroché ce stage longue durée, en partie grâce à ses bonnes notes, en partie grâce à son audace et son beau-parlé. Dégaine royale, attitude arrogante, elle remue les hanches naturellement sur ses Louboutin et garde un visage ferme. Il lui fallait du courage et de la folie pour se mesurer au monde des hommes friqués toutefois, elle aime à le rappeler ; Ji Moon est parfois bien plus fortunée qu’eux. Alors de ses bijoux d’or blanc aux gros carats et de son corps nourri par un chef cuisiner cinq étoiles depuis sa naissance, vingt-deux ans tout juste et la voilà, impétueuse et sulfureuse derrière ses allures innocentes. Une femme bien différente de celle qu’elle est entre les quatre murs de la villa des Bae. Une femme bien différente lorsque la nuit dans son grand lit, elle repense à Allen et ses iris sombres et ses lèvres sur son cou… Les émotions la frappent immédiatement au prénom banni, une déchirure au cœur qu’elle cache par un verre de champagne à la bordure illustrée de rouge à lèvres. « Monsieur Usami. Bonsoir. » Sa langue se délaie avec soumission, elle connaît sa place et tend pourtant sa main, insolent geste dans un misogyne pays : Geste approuvé par l’homme qui la fixe avec une ferveur compétition. Les invités les entourent et repartent et ils discutent tous les deux des dernières chutes en Bourse, des dernières montées en action et sur quel cheval miser à la prochaine course PMU jusqu’à ce que l’adulte mature tourne la tête et fronce les sourcils un instant avant de donner son bras et lui quémande de l’accompagner. Une proposition qu’elle ne refuse pas. Et pendant la marche, des rires se font de plus en plus entendre, des voix qu’elle reconnaît des journées passées à la banque et d’autres sur lesquelles elle ne met pas de point. Puis ils s’arrêtent. Et Ji Moon observe. Et c’est ainsi qu’elle le voit pour la première fois, un jeune homme sur qui ses pupilles glissent, reflets décadents et insolents, elle anticipe, elle humecte ses lèvres et se tourne vers son supérieur lorsqu’il le pointe d’un gracieux geste et le présente comme son fils. Ses cils noirs papillonnent sur ses pommettes, énigmatique et stoïque, elle daigne bien vouloir étirer ses commissures et à nouveau, présente sa main baguée de son mariage et réitère avec modestie. « Eun Ji Moon. Vous devez être le fameux Ryosuke dont j’ai tant entendu parlé. » La demoiselle se détache de la figure paternelle pour s’approcher de la progéniture et elle inhale à grandes bouffées la fragrance qu’il porte et ses pupilles se dilatent. « Il me semble avoir entendu que vous étiez intéressé par le monde du business. Je suis curieuse d'en entendre plus, votre père n'est pas des plus bavards. » Une étincelle dans son vis à vis malicieux. Aussi, juste comme ça, d’une poignée de main et de quelques mots, il y a comme un arrière-goût aigre et dangereux. Un reflux de pilules bleus, de joints, de bière diluée pourtant cette fois-ci souligné par une note de Yves Saint-Laurent et de Chanel mélangés. gabi le loup |
| | | Usami RyosukeThe golden boy More informations ? Âge : 23 ans Birthdate : 24/05/1994 Métier ou études : Branleur pro, dans l'ambition de devenir PDG d'une compagnie de divertissement Résidence : A Nam-Gu en face d'un bar a strip Côté coeur : Je m'aime , tu m'aimes , ils m'aiment ... il ne m'aime pas (enfin si mais c'compliqué tavu) Journal :
R Y O S U K E
L’intelligence des hommes est à refaire, mais tu connais l'dicton
Personne n'est ... enfin si, moi j'suis parfait
Je suis comme votre idéal secret, et si vous n'm'aimez pas encore
Vous finirez par le faire c'est plus fort que vous
Tout dans la queue j'ai plus d'sang dans la tête
Hey, j'suis possédé, mon alcoolisme m'habite J'ai beaucoup de libido j'ai pas de libre-arbitre Romantique, j'ai dit que j'savais lire tes yeux, ah j'espère que tu sais lire ma biiip
T A T S U Y A
#TatsuRyo #Bromance #Bff
Ramènes ta carte membre on va te démembrer pour ceux qui veulent la méchanceté gratuite dès l'entrée. Les doigts dans la prise on est des mecs branchés On roule sur les essieux on est déjanté. Quoi de neuf? Que dalle
Bibadabim bibadaboum Ils sont cools
« 'Cause I have a lot feelings for you I act like I don't fucking care I'm only a fool for you And maybe you're too good for me»
Messages : 326 Crédits : je sais pas encore | | Sujet: Re: He's poison I'm dying to drink (( ft. Ryosuke ♥ 05.12.18 19:12 | |
He's poison I'm dying to drink Erotic Vandals, Scandalous Youth Costume ecarlate ♡ Tu détestes ce genre de réception, reflet de tout ce qui a toujours ruiner ta vie. Ils sont tous la avec leur sourires hypocrites, tout aussi hypocrites que le tiens. La classe qui émane de toi est naturelle, née dans ce monde, contraint d'en faire partie. Lorsque l'on te voit , on ne se douterait pas une seule seconde que là, tu ne te sens pas à ta place. La raison de cette réticence est certainement due au fait que ton père , ou ta mère ne daignait te porter de l'attention que lors de ce genre de fête , faire semblant d’être la famille parfaite , sourire au photographe, être un bon fils fringué comme un mannequin. Tu te rappelles encore , tout petit, lorsque tu attendais ce genre de soirée avec impatience, trépignant à l'idée de pouvoir passer quelques heures avec ta mère. Lorsque tu y repenses, cela te dégoûte. Cette vieille folle, détentrice du prix de la femme la plus cocu de Busan décerné par ton père. Elle avait bien fait de se remarier , de quitter cette vermine. Mais toi ... Toi t'avais toujours pas le choix, tu devais te le coltiner le vieux. Sinon tu te sentirais bien seul sans tout ce paquet de won qu'il balance sur ton compte. Mais ce soir, tu voulais voir le bon côté des choses, c’était l'occasion au jamais. Le riche gratin de Busan rassemblé , ton sourire Colgate étincelant , tu serais sûr de toi. Les investisseurs ne couraient pas les rues lorsqu'un gamin de 23 ans voulait se lancer dans une affaire. Ton idée de business n’était en plus toujours qu'au rang de projets, tu avais les beaux discours, tu avais le charisme, désormais, il te fallait leur confiance et il était bien plus difficile de séduire un homme d'affaires âgé comme ton père que de séduire la serveuse d'un bar de luxe pour la niquer ensuite... là il te fallait le porte monnaie des gros poisson, ton père n'aurait de cette façon aucun droit sur toi , tu devais voler de tes propre ailes. De toute façon ... Il n'attendait qu'une chose, c'est que tu te casses les dents sur le bitume de tes ambitions pour venir reprendre l'affaire familiale ... Non merci. Son affaire est sûrement ce qui t'a valu de devoir vivre sans la présence d'un parent. Par fierté, si cela devait arriver, tu préférerais revendre son entreprise. Tu te présentais donc à l'un d'entre eux, poli, courtois, propre, lorsque ton père s'approche pour t’interrompre ... tiens il veux se la jouer gentil papounet ? Grand bien lui fasse. Ça te dégoûte presque de le voir avec cette jeune femme à son bras ... Elle a quel âge même ? Tu souris à ton paternel, un sourire absolument pas sincère, cette flamme dans le regard lorsque tu le regardes, cette haine que tu ressens pour lui, cette rancœur dissimuler plus ou moins derrière ton sourire de faux-cul vétéran. Ça, c'est sûrement ce qui te rapproche le plus de lui, c'est cette attitude hypocrite. Tu regardes ensuite la jeune femme à côté de lui, charmante, appétissante, très jolie et très classe. Sa voix glisse sur toi, tu souris en coin, un sourire amère et ironique ... Alors comme ça, le daron parle de toi ? T'es curieux de savoir ce qu'il dit ? Après tout, il fait toujours semblant de te voir comme une véritable fierté mais il est le premier à te rappeler l'ordre et à te redresser en te rabaissant si tu te fais trop remarqué par les médias. Tu sais que ton père ne t’apprécie pas spécialement, que son seul sentiment envers toi est une indifférence sans faille. Si seulement il avait au moins daigné se mettre un jour en colère contre toi ... Non, il n'en avait jamais rien eu à faire. Alors pourquoi se venter d'avoir un fils si dans le fond tu n’étais qu'un inconnu vis a vis de lui ? Tu t’empares de cette main, souriant à la belle , charmant, doux , tu déposes un simple baiser chaste sur sa peau. « Oui, c'est bien moi, je ne pensais pas être un sujet de discussion. » La voix claire, douce, un regard vers ton père, interrogateur ... Pourquoi ce vieux taré parle de toi ? Tu sais qu'on parle de toi ... Tu es toi après tout, mais lui ? Qu'est-ce qu'il pouvait bien avoir derrière la tête, surtout qu'à voir la main de la belle, elle n’était plus à prendre. Lui serait-il venu un jour l'idée de te marier ? Tu souris de plus belle à la jeune femme s'étant approchée de toi. « Effectivement, les nouvelles vont si vite, je vois, mais vous savez si mon père ne peut pas en dire plus sur le sujet, c'est parce que je ne lui en ai moi-même pas parlé, je suis même surpris qu'il soit déjà au courant. » Tu parles de lui comme si il n’était pas là. «Je pourrais vous en parler plus amplement, mais tout d'abord, je voudrais connaître votre prénom, c'est injuste puisque vous connaissez le mien. » Tu lances un regard à ton père, noir, amère ... Le genre de regard qui veut dire « cbon papi casse toi ... » Et il te le rend, lui aussi, de la même intensité. Ça fait un baille que cela ne te faisait plus ni chaud ni froid ... Enfin c'est ce que tu t'obstinais a penser. « Père, je pense que ta... Secrétaire te cherches, je la vois d'ici en train de lever le menton ... Va la rejoindre, je m'occupe de mademoiselle. » Tu ne savais même pas qui elle était pour ton père, ni même qui elle était tout cours, mais tu l'avais déjà vu. C’était déjà ça. Saluant la coréenne, ton père s'en va. Tu soupires, desserrant les fesses. «On peux se tutoyer non ? Bon première question, desolé de la poser d'ailleur, ... est ce que tu couches avec mon père ? Je ne juge pas hein ... Tu fais ce que tu veux, mais c'est juste pour savoir, t'es mignonne et lui, c'est un pervers alors on sait jamais. » D'un coup, tu te lâches, ton ballet, coincé dans le fond de ton fion, se retrouve éjecté. « Et pour tout te dire ... Je veux monter ma propre agence de divertissement, j'ai déjà quelques talents près à être lancé, mais j'ai besoin de sponsor pour commencer. » Bref, net, suffisant. gabi le loup |
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