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Aller à la page : 1, 2 | | | Sujet: Re: (18) regarde-moi, mon coeur. (imsa) 22.02.18 0:00 | |
Regarde-moi, on coeur.(( tenue )) Je suis l’homme de sa vie. Je le sait, depuis longtemps, très longtemps même. Et je ferais tout mon possible pour que cela reste le cas. Rien ne pourrait la rassurer, pas même mes sempiternels mensonges ou changement de sujets. J’ai choisis de me taire volontairement, parce qu’au fond, elle n’arrivera jamais a accepter le fait qu’elle passe avant tout pour moi, mais qu’on ne change pas si facilement les vieilles habitudes. Peut-être qu’un jour j’arrêterais, je trouverais un psy capable de contrôler mes pulsions sexuelles et mon besoin constant de domination. C’était franchement mal barré. C’est pour ça que j’ai besoin d’Imsa à mes côtés. Alors non, je ne l’imagine pas me tromper, c’est impensable. Je n’y croirais pas car ce serait impossible. Je n’ose pas imaginer cette folie qui pourrait arriver et à quel degré je brûlerais celui qui toucherait l’amour de ma vie. Je me souille jours après jours et nuits après nuits, étant clairement conscient du genre malsain que je suis. Mais elle, Imsa, ma Imsa, rien ne doit changer, elle est l’exception à la règle. Je l’aurais volontiers laissée me tromper par le passé, je lui aurait vendu mon propre ami, mais il y a une différence entre avoir seize ans et vingt-deux ans. Mes sourcils se froncent, j’ignore ses propos car je ne peux les concevoir. Nous arrivons finalement dans le souterrain et je lâche mon emprise sur elle, la laissant jouer de moi et me pousser dans l’eau. Adieu, costume Versace. Mon corps s’enfonce dans les profondeurs tièdes de la piscine et j’émerge en rejetant mes cheveux en arrière, crachant l’eau avalé de travers. « Putin Imsa ! » Je lui lance désabusé et la regarde se déshabiller. Mon plus grand plaisir, je n’en perds pas une miette, savourant chacun de ses mouvements, obsédé par ses courbes si familières. Et pourtant, pourtant je me surprends moi-même à en découvrir d’avantage chaque fois qu’elle se trouve nue devant moi. Sa voix m’atteins et je nage jusqu’à elle pour l’entourer d’une prise ferme, collant fiévreusement la bosse de mon désir sur ses cuisses nues. « Mhm, il me semble bien que oui. » Je réponds joyeusement en nous faisant flotter jusqu’au bord où je la plaque doucement. « Tu aurais pu me déshabiller avant. » Je constate blasé en décollant le costume trempé de ma peau. Nu comme par magie, je me colle tout entier à ma belle, ayant pied contrairement à elle. Ma bouche humide glisse le long de son cou et vient rencontrer ses lèvres. Je les dévorent avec ardeur, besoin, envie, pression, un tout. Un tout qui me consume à petit feu depuis ma dernière raille de poudre. Mon corps entier hurle à la tentation et au sexe, ma main droite vient se refermer fermement sur l’une de ses fesses et la gauche s’empare d’un de des seins que je presse paresseusement. « Je ne veux plus te voir pleurer, Imsa. » un murmure à travers une flopée de baisers, parcourant son visage, déchirant ses lèvres, je la laisse se languir avant de la faire mienne. gabi le loup
Dernière édition par An Sarang le 17.03.18 14:26, édité 1 fois |
| | | | | Sujet: Re: (18) regarde-moi, mon coeur. (imsa) 22.02.18 16:10 | |
Regarde-moi, mon coeur.(( tenue )) Tu rigoles joyeusement, encore sous les effets des drogues ayant pénétrées ton corps tout au long de la nuit. Toi aussi, finalement t’as un pouvoir sur lui. Celui de ton corps, celui de tes mots. Parce que ouais t’as bien constaté qu’il ne fallait pas grand chose pour le faire venir à toi : la vision de ta personne nue, tes mots un brin tentateurs et le tour est joué ; il nage jusqu’à toi. Quand il t’entoure, quand il te serre, tu peux aisément sentir son désir contre ta cuisse. Tu mordilles alors ta lèvre inférieure. T’aimes avoir cette emprise celui. T’aimes savoir que malgré les années l’effet que tu lui provoques est toujours intact. Puis, doucement, ton dos trouve contact contre un des rebords de la piscine. « Ca aurait trop facile après. » Tu lui réponds sourire au coin des lèvres tandis qu’il s'effeuille avec une habileté déconcertante. Tu l’observes. Tu le trouves toujours aussi attirant : aujourd’hui peut-être plus qu’hier. T’as envie de lui, de le sentir contre toi, en toi. Alors plaquée contre ce rebord, tes jambes viennent entourer son bassin, et tes bras son cou. Quand ses lèvres partent à la rencontre des tiennes, tu lui réponds avec la même ardeur, la même envie. Toi aussi t’en peux plus, toi aussi t’as envie que vos corps se retrouvent. Tu crois que jamais tu pourrais t’en lasser de le sentir contre toi, de le sentir te posséder. « On veut chacun des choses que l’on sait impossible à avoir... » Il ne veut plus la voir pleurer, impossible. Tu ne veux plus qu’il fourre sa queue dans n’importe qui, juste impossible. Puis tu plonges tes billes brunes, dans les siennes tandis que l’une de tes mains vient s’amuser avec son point de plaisir. Tu le titilles, le caresse doucement. Tu joues même avec ces petite zones que tu es la seule à connaître pour le rendre complètement fou. Tu ne lâches jamais son regard, tu aimes regarder le plaisir que lui donne. T’aimerais pouvoir lui donner plus en gouttant à cette érection mais étant donné l’impossibilité de l’action, tu tentes alors de faire oublier ta main en transformant tes caresses en un geste extrêmement sensuel, torride. Tu vas. Tu viens. Tu insistes sur son gland et caresses ses testicules… « Je t’aime Sarang.» gabi le loup |
| | | | | Sujet: Re: (18) regarde-moi, mon coeur. (imsa) 23.02.18 13:44 | |
Regarde-moi, on coeur.(( tenue )) Nos corps s’entrelacent sous cette eau tiède et cristalline, un afflux de sensations décuplées par la drogue dure : je me sens pousser des ailes, ou peut-être les ai-je déjà depuis longtemps. Un sourire carnassier sur le bord des lèvres, je parsème la clavicule d’Imsa de baisers. « C’est toujours trop facile. » je réponds dans un souffle chaud, laissant glisser ma langue jusqu’à ses tétons. Je la désire tant, tant que j’en aurais presque mal, j’ai cette furieuse envie de la posséder plus que ce n’est déjà le cas. Comme si… Tu m’appartiens… Mes pensées frôlent la folie et je l’attends patiemment, me transformant peu à peu en démon, en cet être avide de vices. Ce besoin ardent de posséder et de manipuler me prends et me surprends chaque instant. Mes yeux cherchent les siens tandis qu’elle s’empare de mon membre. « Rien n’est impossible Imsa. » je lui tends cette douce symphonie d’espoir, comme si tout pouvait encore changer, basculer. Comme si tout n’était qu’éphémère et que tôt ou tard elle accédera à sa demande. Un grognement sourd franchi la barrière de mes lèvres tandis qu’elle titille ce point dont elle a le secret. Ma rétine semble s’enflammer et mon corps entier se contracte, chaque muscles se resserrant dans un étau de plaisir intense. « Imsa… » Je grogne de plus belle en la plaquant contre moi, laissant mes sens se déchaîner à chacune de ses allées et venues, chacune de ses découvertes, de ses taquineries. Elle me dit qu’elle m’aime et je rugis intérieurement, incapable de résister une seconde de plus à cette tentation. « Redis-le moi. » Je ne la quitte pas des yeux et place rudement ses cuisses autour de ma taille en enfonçant que la moitié de mon membre dans son intimité. Consumé par cette maladie qui me poursuit depuis toujours, par cette envie déchirante de décadence et de sexe, je me laisse fondre dans ce vice qui m’est si précieux… Je n’attends pas plus longtemps, n’écoutant pas sa réponse, mes mains se contractes sur ses fesses et je m’enfonce rudement en elle, mes lèvres pinçant son téton droit dans une première vague d’orgasmes. gabi le loup |
| | | | | Sujet: Re: (18) regarde-moi, mon coeur. (imsa) 02.04.18 22:42 | |
Regarde-moi, mon coeur.(( tenue )) Tu pinces tes lèvres. Bien sur qu’il veut te l'entendre dire à nouveau, mais toi t’en as pas envie. Tu veux être cette femme forte. Pendant encore quelques secondes tu veux avoir la force de lui dire non, de ne pas lui céder. Alors tu secoues la tête. Tu lui refuses, et bordel ça te fais du bien. Ou alors c’est son érection dans ton intimité qui te procure cette sensation de bien être. Tu ne sais pas et dans le fond tu t’en fous. Toi tu te contentes de pousser un long gémissement de plaisir, tandis que ses lèvres entourent ton téton droit. Tes longs doigts fins viennent glisser dans sa chevelure de jais, s'agrippant à celle-ci comme pour résister à la puissance de son bassin. Ta voix vous enveloppe. Vous ne faites à présent plus qu’un et tu adores ça, tu es sienne de la façon la plus naturelle et bestiale qu’il soit. Agrippée à lui, ton visage se plonge dans sa nuque, tes lèvres se posent sur son cou, et se meuvent contre ce dernier. Le baiser est long et entrecoupé de mordillements il se fait sensuel et extrêmement torride. Tu apposes ta marque ; montre qu’il est tient. « T’arrêtes pas Sarang… » réussis-tu à exprimer. Ses mouvements sont abruptes, et toi tu adores ça. Tu prends ton pied comme à chaque fois qu’il te fait l’amour, ou dans ce cas-là te baise. Presque vingt piges passés à ses côtés, dix en putain de couple et cinq ans que vous avez découvert ensemble les joies du sexe. Du moins toi avec lui. Tes mains glissent le long de son dos, se plantent par instant dans celui-ci quand il se presse et s’insère au plus profond de toi. Il te rend folle, ton palpitant bat à tout rompre, tu pourrais en crever tellement tu planes et tu kiffes, et bordel qu’est-ce que tu l’aimerai ta mort. « Sarang… Oui, vas-y, vas-y…. » Tes doigts quittent son dos, pour presser son postérieur, pour lui réclamer d’aller plus vite, plus profond, plus fort aussi. Tu le sens venir, cet orgasme qu’à chaque il arrive à te donner. Tes gémissement se font plus bruyants, plus présents. Puis tes jambes se crispent, se resserrent contre son bassin. Tu plantes tes ongles dans sa peau nue, tu libères un peu plus ta voix et tu laisses le plaisir t’envahir et te quitter aussi rapidement qu’il est venu. Ton corps tremble, et toute la tension te quitte. Tes pupilles brunes se plantent dans les siennes, tu embrasses ses lèvres. Tu ne dis rien, le sourire qui ne quitte plus tes lèvres suffit à traduire ton ressenti et le bonheur dans lequel tu es. Et qu’on se le dise tu ne serais pas contre remettre le couvert… gabi le loup |
| | | | | Sujet: Re: (18) regarde-moi, mon coeur. (imsa) 12.04.18 11:59 | |
Regarde-moi, on coeur.(( tenue )) Ses désirs sont des ordres et je ne m’arrête pas, je continu, toujours plus fort de cet amour brute qui nous caractérise si bien. Je me sens si paisible en elle, à ma place enveloppé dans son odeur et ses halètements. Je me sens revivre même si je connais chaque parcelles de son corps depuis tant d’années, c’est toujours aussi difficile de s’en lasser. Alors je vais et je viens, rudement mais prudemment tandis que ses doigts fins agrippent mes fesses et je rugis contre son téton, glissant mes lèvres jusqu’aux siennes en laissant venir ses orgasmes. « Imsa… ! » Mon corps entier se crispe en sentant venir la première vague de plaisir et j’enfonce mon visage dans son cou en émergeant de tout mon être en elle. Un millier de picotements et de soubresauts me contractent le corps et je me laisse choir de tout mon poids contre son corps frêle en déposant un baiser humide sur sa mâchoire. En paix mais pas pour autant rassasié, je me redresse et la regarde toujours plus excité. Elle sait, elle me sourit et je lui répond en souriant les yeux plissés, recueillant son baiser avec fougue. Plus intense, encore et encore, je sens ma queue toujours en elle se gonfler de désir et je passe mon bras sous l’une de ses cuisses pour la soulever et m’enfoncer plus loin non sans m’arrêter de dévorer ses lèvres. A court de souffle, je me redresse en caressant son corps que j’admire. « Tourne-toi mon amour. » Un ordre simple et rapide, je me retire et la retourne sans qu’elle ne demande sont dû et revient en elle, plus lentement, mon doigt glissant le long de sa colonne vertébrale jusqu’à la naissance de ses reins. Les allés et retours reprennent, doucement puis plus rapidement et je me penche pour attraper le bout de ses seins férocement en plaquant mon visage contre son dos maigre. Son corps si fragile mais tellement excitant me rend dingue, les mots ne viennent plus, juste le plaisir se fait ressentir, toujours plus fort. Nos liquides corporels se mélangent et suintent le long de nos cuisses mais je n’en ai que faire, n’ayant jamais voulu me résoudre à mettre quoique ce soit autour de mon phallus qui m’empêche de sentir Imsa intensément. Je presse encore un peu ses seins et revient m’agripper à ses hanches, recouvrant le claquement de nos bassins par des grognements de plaisirs. Plus rapide, les yeux-mi-clos, je laisse ce dernier me choyer en admirant la beauté d’Imsa. gabi le loup |
| | | | | Sujet: Re: (18) regarde-moi, mon coeur. (imsa) 15.04.18 16:56 | |
Regarde-moi, mon coeur.(( tenue )) Cette fois tu ne résistes plus. Tu t'exécutes, le laisse te contrôler. A nouveau il te fait sienne et tu te laisses une nouvelle fois emporter par le plaisir. La douceur de ses doigts sur ton échine, te rends folle, te fais frissonner, gémir aussi. Il sait parfaitement parce qu’il te connait par coeur. Alors guère difficile pour lui de t’embraser. Ses doigts qui agrippent tes tétons ainsi que son souffle chaud contre ta peau nue finissent par te faire capituler. Tu gémis, laisse ta voix vous envelopper. Tu adores ça. T’adores cette façon qu’il a de bouger en toi, d'aller et venir avec cette simplicité naturelle. T’arrives plus à penser à rien. Rien d’autre qu’à lui et au plaisir qu’il te donne avec cette érection découverte. Découverte de toute protection. Baise dangereuse, mais baise intense alors tu ne peux te résoudre à le lui imposer. Tu flirtes avec le danger, joues avec tes limites. Et ça dans l’unique but de plus penser à rien. Enfin à rien d’autre qu’à te vider ta tête de toutes ces foutues questions qui te hantent. Tu mords ta lèvre inférieure, laissant sa seule voix prendre le contrôle. Tu aimes l’entendre. Tu aimes entendre le plaisir que tu lui donnes. Ca te rassures, juste pour quelques minutes. Être la seule femme dans sa vie. Mais quand ses gestes se font plus puissants tu ne peux retenir ta voix plus longtemps. Il te possède. A tout point de vue et pour ce simple instant tu le lui concèdes parce que toi aussi tu y prends plaisir. Tu te donnes, meus ton bassin au rythme du sien. L’instant est charnel et incroyablement torride. Tu le veux, le désire comme jamais. Puis soudain, il touche ton point de Gräfenberg. Tout en toi se contracte, lui suppliant de continuer. Pourtant dans l’eau, tu as chaud. Il te donne la fièvre et toi tu adores ça. Ses mouvements s’accentuent. Tes mains s'agrippent comme elle le peuvent au rebord de la piscine. Il va vite, continue de titiller ce point qui finit par te faire succomber à la plus totale des luxures dans un tonitruant gémissement. Dans le même instant tu reçois son plaisir le plus pur. Puis toute tension te quittes, tes jambes n’arrivent même plus à supporter ton poids et tu te mets à rigoler. « Regarde dans quel état tu me mets… » Tu tournes ton visage vers le sien posé sur ton dos. Il te fait sourire ce visage d’homme rassasié et planant dans le bonheur. gabi le loup |
| | | | | Sujet: Re: (18) regarde-moi, mon coeur. (imsa) | |
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