BANG SEO JUN

groupe social :whiskey s. /
Featuring. Choi Hansol / Vernon (SEVENTEEN).

Les Anecdotes Il considère qu'il n'y a pas d'âge pour les happy meal et conseille à ceux qui ne sont pas d'accord de se fourrer son jouet dans un endroit qui ferait pâlir une nonne. ● Petit, il voulait être astronaute mais il a vite déchanté quand il a appris qu'il fallait être calé en mathématiques et que les progrès de la science n'avait pas encore permis d'inventer le mcdonald spatial● il compartimente tous ses aliments et les mange catégorie par catégorie. En général il commence par les légumes, enchaîne sur les féculents puis finit par la viande● Il a tenté d'être vegan pour les beaux yeux d'une donzelle mais elle a trahi leur pacte mutuelle en craquant pour du poulet frit, bourré à quatre heures du matin. Depuis il a un léger problème de confiance. ● Il a une grande soeur qui a tout réussi et reprendra le business familal plus tard. Elle est le seul membre de sa famille qui en a l'air d'avoir quelque chose à faire de ses activités journalières et ses projets  

Le caractère insouciant ; épicurien ; excessif ; impulsif ; spontané ; généreux ;indécis ; flambeur ; très vaguement torturé ;un peu macho; plutôt con ; gros gamin

Les épaules jetés en arrière, le regard désinvolte et l'ombre d'un sourire mutin qui plane sur ses lèvres, Bang Seojun, du haut de la montagne de fric sur laquelle il siège, se targue de n'en avoir rien à foutre du monde et de la façon dont il tourne ; Trop confortable financièrement pour son propre bien et pas assez responsabilisé par ses parents pour développer une conscience aiguë de l'épanouissement personnel , son cerveau n'a pas encore passé le stade de l'adolescence et voit toujours la vie comme un festin dont il faut seulement se rassasier de tout son content.

Il est un peu comme un gosse à qui l'on aurait confié l'entièreté d'un bac à sable en décrétant qu'il pourrait en faire tout ce qu'il en souhaite ; Hormis que de s'amuser avec du sable, Bang Seojun s'amuse avec un tas d'autre joujou, des plus banals aux plus loufoques ; Il entasse de la belle caisse jusqu'à la machine la plus saugrenue dont l'usage sera unique et très obscur, dans le simple but de se divertir.

Car tout cela n'est qu'une grande guerre menée à l'ennui et fort heureusement pour lui, il la gagne haut la main. Pas assez torturé pour s'enfermer dans des questions existentielles, pas assez révolté pour s'engager dans des causes humanitaires, pas assez ambitieux pour s'affoler de son manque de carrière et pas assez pauvre pour devoir gagner son propre pain, Bang Seojun est un imbécile heureux qui fonce dans le grand corridor de la vie, assis dans son caddie de supermarché, les bras levé et la mine radieuse, seulement préoccupé par la vitesse de pointe qu'il peut atteindre.

Les veines assaisonnées au speed ou les narines saupoudrées de coke pour alléger la routine quand sa pesanteur se fait trop ressentir, Bang Seojun brûle sa vie par tous les bouts qu'il parvient à trouver. Par curiosité il a goûté au moins une fois à tous les vices matériels de la planète, en est souvent un visiteur ponctuel voir même habitué quand il s'agit des femmes et de l'alcool.

Bang Seojun, si l'on pourrait dire sans mentir que sa première qualité est celle d'être incroyablement riche, et que malgré son côté flambeur, n'enfoncera jamais ses billets dans la gorge d'un autre pour lui montrer sa supériorité. Tout le contraire, il serait presque comme un enfant pris en faute, qui rougit d'avoir tant de jouets à sa disposition quand d'autres n'ont que quelques figurines pour s'amuser. Il est même d'une simplicité désarmante dans ses rapports humains, sa deuxième qualité serait d'être un garçon incroyablement simple qui ne recherche que de la chaleur dans ses rapports humain et ne se lasse jamais de la découverte. Il aime parler pour rien dire, poser des questions triviales, dresser des comparaisons débiles et faire des plaisanteries douteuses. Et un peu tempéramental quand il n'obtient pas ce qu'il souhaite, il s'ampute rapidement des relations trop compliquées et n'aime pas l'artifice des faux-compliments. Bang Seojun n'aime pas la poudre aux yeux, les subtilités ; Encore moins le cynisme déplacé et les intellectuels trop pédants qui font comme si jamais rien n'était assez bien.

Ca lui rappelle trop son père. Son père, ses yeux froids et ce jugement implacable qui a depuis longtemps abandonné son fils et pas assez paternel pour s'en occuper, a préféré régler le problème à coup de cartes bancaires. Loin d'être insensible, Seojun évite d'y penser, lui qui aurait voulu être le fils idéal, celui dont on parle on comblé de joie et dont on conte les succès à chaque dîner professionnel. S'il y a un malaise, c'est bien celui de n'être jamais rentré dans le moule tout chaud que lui a préparé son père. Et gêné, Seojun enferme ce problème dans un placard qu'il verrouille à double tour pour mieux l'ignorer et reprend sa vie sans vraiment en souffrir, car il n'y foutra jamais son nez, sauf si on le lui fout à l'intérieur ou qu'une quelconque substance illicite en fasse exploser le verrou.

Tout aussi insouciant et désinvolte qu'il voudrait se croire, Seojun ne sait mentir et avoue que toutes ses années à ne vivre que dans l'oisiveté ça commence à faire long et que même lui, oui oui, recherche parfois la productivité. Alors il se lance dans toutes sortes de projets loufoques sans jamais les finir car pour ça il lui faudrait une once d'organisation ; Mais il a toujours sa lubie du moment. Que ce soit du bricolage, la pêche, le tennis ou le yoga, il lit toujours quelques pages avant de se désintéresser du bouquin entier.