kwon yejin lovey dovey sa mère. aux premiers abords, on a affaire à un type calme et de façade, bien rangé, courtois et franchement mignon. l’élément perturbateur de son périple, c’est sa rencontre avec notre sale gosse de yejin, qui représente tout le contraire du profil détaillé de ce jeune garçon. contraints de partager des postes de nuit dans la supérette où tous deux bossent sans la moindre once de volonté, ils seront poussés à entrer en contact, de manière totalement professionnelle en premier lieu, puis lui parviendra à creuser sous sa façade de lionne tandis qu’elle décrochera au gamin des phrases voire même des conversations entières. deux opposés qui, pour répondre à l’un des plus grands clichés sentimentaux, semblent bel et bien s’attirer — peut être pour le meilleur si l’on s’en tient à lui, très probablement pour le pire si l’on décide de placer sa confiance en elle. leur lien s’agrémente de formules de politesse de la part de l’aîné et de doigts d’honneur accordés aux sourires en coin de la cadette.

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