Back in Black ♪
(( tenue ))

Souvent, son père le saoule pour qu'il vienne assister à des tournages, parce que « voyons Yu Jin, je suis sûr que le grand écran te motivera un jour ! ». Honnêtement, Tony n'y vient que pour mater les le derrière des cascadeuses et la face des actrices, faut regarder les deux respectivement pour avoir un humain décent. Ouch. Vilain garnement. Sauf que, cette fois, assis pépère sur une chaise les jambes vlà écartées, il fixe Lin avec un rictus de prédateur affamé, les dents blanches étincelantes quand sa scène se finit enfin. Elle a tout : Beau cul, belle gueule putain. Un ptit « coucou » de la main et juré, une étoile s'est envolé dans le ciel à son clin d’œil osé.  « Lin ~ ». Il n'attend pas et se lève, remettant son tee-shirt correctement devant, avançant avec une attitude arrogante et je m'en-foutiste à souhait. Un péché sur pattes ce type, il pourrait faire rougir des nonnes et convertir Satan au Tonysme.

Oui, c'est une religion, vous voulez vous y souscrire ? Pas cher, pas cher, c'est gratuit !

 « Lin, tu as un jeu toujours aussi... » Excellent ? Parfait ? Travaillé ? Expressif ? Il fait mine de réfléchir mais ce petit fdp a déjà la réponse en tête, de quoi titiller la demoiselle et chercher les représailles, ces deux coco se cherchaient un peu plus que pour s'éclater :  « Aguicheur ! » Un rire lui échappe d'entre les lèvres.  « Tu le sais que tu joues bien de toute façon, t'as pas besoin de moi pour te le confirmer, n'est-ce pas ? » Sans hésiter, comme si c'était naturel entre eux, il se plante en face et lui remet une mèche de cheveux derrière l'oreille, rien à battre des techniciens qui peuvent regarder, rien à branler des pecnots qui pensent avoir une chance de le toucher avec leurs paroles déplacées : Si Tony veut, Tony prend. Et ce n'est pas comme si c'était pas consenti ? Ils ont une petite alchimie, une petit quelque chose qui fait pas du tout froid aux yeux ! Une flamme qui crame de passion, je vous le dis, rien qu'en observant ses lèvres et ses beaux yeux en amandes, il peut se souvenir du baiser qu'ils ont échangés une fois en répétition pour une pièce d'un dramaturge français, il y a glissé la langue et elle avait pas l'air de refuser.  « Tu es en pause là, que je puisse t'ennuyer ? » La femme est pleine de caractère et de puissance mais c'est ce qu'il aime le plus, elle se laisse pas faire et parfois, Tony aime bien se battre pour avoir ce qu'il désire !

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(( tenue ))

Tu donne la réplique , tu joues la comédie comme une reine , tu changes de peau , tu sais qui tu es mais tu peux être tellement plus que ça grâce à ce métier que tu aimes tant , t'es investie, il n'y a que ça qui compte pour toi. Pourtant, aujourd'hui, tu ne peux t’empêcher de penser à ce regard qui te suit, qui te juge, qui te fixes sans retenue. Le mec totalement à l'aise. Il t’énerve autant qu'il t'attire ... T'as toujours aimé la contradiction ! Il est tout ce que tu aimes et détestes à la fois, un air trop sur de lui, je m'en foutiste ... Mais un putain de charme à la bad boy , le genre de charisme qui t'as toujours attiré.
Une fois le travail bouclé, tu ne peux t’empêcher de lui lancer un regard mi-assassin, mi amusé ... Presque sympathiquement blasé. Et il te salue, son petit sourire en coin, son regard et cette façon qu'il a de te parler ! Il mériterait des claques et pourtant tout ce que tu ressens, c'est ton petit ventre qui se tord ... C'est tellement ambigu entre vous !
Il se lève et à ton tour, de ton regard froid, tu le scrutes, son allure désinvolte, comme s'il n’était même pas concerné par sa propre attitude. Tu finis par sourire ... Le sale gosse !
Le compliment, si on peut dire ça comme ça, te fais hausser un sourcil, tu souris de plus belle, un sourire remplis de sarcasme et de satisfaction.
« C'est parce que tu es là ! Je le fais exprès »
Tu le repousses de ton attitude si distante , si froide et pourtant tes mots sont prononcé avec cette voix suave et séductrice ... S'il veut jouer, tu vas lui montrer que tu n'es pas novice.
« Effectivement, je le sais. »
Prétentieuse juste pour de faut , sur de toi et joueuse. T'es rarement comme ça avec les gars, t'es pas du genre à agir comme ça avec tout le monde, mais il y a vraiment quelque chose chez lui qui t'attire plus que de raison.
Sa main glisse sur la longueur de tes cheveux, et tu te retiens de te mordre la lèvre... C'est chimique tout ça, ou physique, il exerce sur toi une attraction presque dérangeante quand tu y réfléchis bien. Et pourtant, c'est tellement délicieux, parce que t'as l'impression de jouer avec le feu. Et ... il est vraiment très beau. Tu ne fais même pas attention au regard des autres, t'es juste plongée dans le siens.
« Qui a dit que je voulais passer mon temps de pause avec toi ? »
Garce, tu le rejettes encore, après tout, quelle femme n'aimes pas qu'on lui coure après ? C'est pour cette raison que tes relations sont limitées ... Tu n'es pas facile comme fille !
Tu lui souris presque trop innocemment, battant des ciles comme une enfant.
« En fait ... »
Tu t'approches docilement, glisse tes lèvres a quelques centimètres de son oreille, pas trop près pour pas que ne soit suspect pour les autres, assez près pour que ça le soit pour lui.
«J'ai fini ... Tu peux me payer un café si tu veux ? »
tu t’éloignes et lui sert un jolie sourire fier, te retournant, tes cheveux balayant l'air sur leur passage, te dirigeant presque comme en l'invitant à te suivre vers ta loge.

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(( tenue ))

Lin elle a un sourire à vous faire baver par terre, le genre de lumière qui vous éblouit, c'est pas doux, c'est pas mielleux, nan, c'est vif et acidulé, un truc qui vous donne une bonne tarte en pleine poire, dans les dents. Tony a un faible pour ses lèvres et son menton : faut savoir apprécier les belles choses de la vie.

Puis, elle a cette prétention qu'elle partage avec lui, cette attitude « suis moi, je te fuis ; fuis moi je te suis » avec laquelle il aime s'amuser. Urg, c'est le summum, le pompon, la cerise sur le milk-shake, la crème chantilly sur les tétons. Bref, c'est une vilaine fille qu'il aime à fesser de temps en temps et en plus, c'est une individue au cœur d'or, que demander de mieux ? Ses cheveux sont doux et d'un noir de jais, il plante ses pupilles dans les siennes et ça brûle entre ses reins, il se mord la lippe sans hésitation. Au diable, la retenue ! Mais les acteurs sont trop bons joueurs et elle le rembarre, un air de diva le prenant immédiatement.  « Comment peux-tu me rejeter, enfin voyons, Lin ?! » Une fausse larme lui coule le long de la joue, quel comédien, franchement.  « Je pensais qu'on... »

Mais elle le coupe et il se raidit, un rictus au coin le prenant par réflexe, il a sa main sur sa hanche et il ronronne, elle sent bon bordel, il la prendrait sur le champ s'il pouvait.  « Juste un café alors. » C'est sûrement pas un nom de code sur lequel ils s'étaient mis d'accord sauf que là, il dit d'accord à la caféine et la regarde partir avec le cœur enflammé. Bon sang ! Qu'est-ce qu'il aime courir après les gens. Qu'est-ce qu'il aime désirer. Et, c'est bizarre parce qu'il ne verra pas forcément ça comme tromper, il voit ça comme... Faire son acteur. Profiter de la vie. Se divertir. Si quelqu'un doute pour son amour envers Im Sa, c'est compréhensible toutefois Yu Jin, lui, c'est pas une seconde qu'il en doute. Alors qu'en il suit à la trace la demoiselle jusqu'à sa loge, il en doute toujours pas. Quand il ferme la porte derrière lui et agrippe Lin en retour pour la plaquer contre la première surface qu'il voit et inspirer son parfum, son shampoing et embrasser son cou. Il n'en doute pas du tout. Elle et Elle sont différentes et les deux sont charmantes et importantes à sa vie. Deal with it.

 « Comment se passe ta journée, gente dame ? » demande-t-il dans une politesse excessive, faisant voyager ses lèvres le long de sa mâchoire et jusqu'à sous son oreille.  « Est-ce qu'on respecte l'artiste que tu es ?  » ça titille, ça taquine, ça pique, il fait la moue innocente et dépose un baiser sur la commissure de sa bouche.  « Café avec ou sans sucre ? » Puis, il attaque la commissure de gauche, tendrement, ses doigts glissant sur le bord de son haut moulant.  « J'aime bien ta jupe. » C'est toujours pratique une jupe, chérie !

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(( tenue ))

Tu ne te retournes pas, non, surtout pas, tu avances devant lui espérant qu'il te suive. Il est ce petit plus dans ta vie, ce truc que tu voudrais rejeter en bloc juste par principe, mais dont tu ne peux pas te passer. Il est jeune ... Bien trop jeune pour toi. Et pourtant, son arrogance, sa fougue. Tu aimes te sentir dominatrice, mais tu continues à vouloir devenir sa proie. T'as presque l'impression que tout ça est interdit .... Mais tu continue quand même, c'est plus fort que toi.
Alors évidemment , lorsque tu passes la porte et que tu sens son emprise si soudaine , tu continues de le défier du regard, ce regard froid et brûlant à la fois , ce regard qui veut tout simplement dire "c'est tout ce que tu as ?"
Et lorsque tu sens ses lèvres dans ton cou, tu te dis de manière assez ironique que le café vas être brûlant.

Ta respiration s'alourdit malgré toi, et sa voix glisse sur ta peau au grès de ses lèvres.
"Longue ..."
Oui , une langue journée ou encore une fois, tu n'as rien manger, ou encore une fois t'as trop donné parce que t'en a besoin pour pas trop penser.
"Tout le monde me respecte, tu sais ? ..."
Et ses lèvres à quelques millimètres seulement des tienne , il te rend folle, parce qu'il te fait perdre la face.
"Sauf toi ..."
Non ... Il ne te respecte pas, il ne te salue pas d'une révérence, il ne te parle pas poliment, il te juge toujours de son regard insistant. Et c'est ce que tu aimes le plus chez lui, un prince charmant pas tellement charmant qui te charme bien trop facilement.
Tes mains glissent dans son dos.
"Sans sucre"
Ses lèvres continue de glisser dangereusement sur ce sourire que tu retiens de tout ton coeur . Tu t'efforces de ne pas réagir, pas un soupire, pas un rictus alors que dans le plus profond de tes entrailles, une flamme brûle et consume tout ton corps de l'intérieur.
C'est lui qui t'allume.
"Merci, j'aime bien ton haut"
Tu accompagnes tes mots par ta petite main pas si timide que ça qui glisse dessous, tes doigts caressant avidement cette musculature d'homme, sa peau si douce sous tes doigts.
un soupire t'echapes , incontrôlable, tu te mords la lèvre, tu ne peux pas craquer si vite. Ta main glisse sur la peau de son torse et , un sourire taquin sur les lèvres , tu viens glisser le tissus de son t-shirt derrière la boucle de sa ceinture , pour le rhabiller correctement , pour lui redonner son style.
"Je le remets comme il était ..."
La voix suave, tu le pousses un peu , décollant ton dos de ce mur, tu viens poser tes lèvres sur sa joue , pour jouer.
"Je dois me changer si on veut sortir, tu sais ? Je n'ai pas le droit de reprendre avec moi mes vêtements de tournage"
Sous-entendu explicite ... Tu vas devoir te déshabiller, saurat-il te donner un coup de main ?

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(( tenue ))

Yu Jin aime se faire taper sur les doigts, Yu Jin aime finir rampant à se damner d'envie et de désir, il aime séduire, il aime qu'on le fasse attendre, une sorte de soumission qui pourtant, ne se traduit pas dans son attitude. Il a ses mains qui glissent le long de sa poitrine habillée et le long de son ventre puis elles tombent sur sa taille et il grogne.  « J'ai ma façon de te respecter, non ? » affirme-t-il en jouant avec elle, frôlant leurs bouches, mimant un tendre baiser, ressentant tout juste la volupté de ses lèvres contre les siennes.

Il aimerait les posséder comme jamais, les rendre rouges, gonflées de plaisir et mouillées de lubricité. Et avec les doigts de Lin sur son torse, un soupire l'agresse et il passe sous sa jupe pour caresser le haut de ses cuisses, serrant un peu ses jambes fines qu'il aimerait écarter sur le champ pour y mettre sa tête avec avidité.  « Uurh. Mais j'ai envie de toi, moi. » s'impatiente-t-il quand elle lui remet le tee-shirt en place, comprenant qu'il doit encore mariner. Capricieux et pourtant, adorant se faire refuser. Il mijote, ça se voit dans son pantalon, il commence à se réveiller et durcir un peu plus bas, il se recule et mord sa lippe, passant ses phalanges dans ses longues mèches noires.  « Oh tu voulais sortir ? Je vois pas pourquoi, on est plutôt bien là, non ?» Le garçon se faufile derrière la femme, plus grand qu'elle d'une quinzaine de centimètres, allure de minet qui se fait la noona.  «C'est cosy par-ici, on y est au chaud... » Aucune gêne, il attaque de ses dents la nuque avec délicatesse, presque tendresse même et soulève le haut sans peine pour juste découvrir son soutien-gorge.  « Et pourquoi tout enlever, tu ne veux pas te faire de bons souvenirs dans tes tenus de travail ? »

C'est le pompon, ils pourraient sûrement se faire surprendre, rameuter problèmes sur problèmes toutefois, tant qu'on y est, on salit ce qui nous appartient pas voyons ! Ça l'excite à mort, d’imaginer la chinoise les seins à l'air, étouffée par le pull rayée remonté, la jupe à peine retroussée pour pouvoir la fesser et la prendre contre la table à coiffer. Anthony a envie de lui faire oublier la pression et le stress, lui tirant les cheveux et lui soulevant les hanches en levrette.  « Ça ne t'enchante pas ? Tes bras coincés là-dedans tandis que je te fais ton café ?  » et pour marquer le coup, sa langue passe sur son épaule, pianotant quelques notes inconnues sur ses côtes en même temps, frôlant le sous-vêtement, ne dépassant pas les limites, juste de quoi la teaser, de quoi la faire craquer, en attendant qu'elle donne le feu vert ou qu'elle finisse par le faire imploser.  « Un café bien chaud, noir et profond, j'en ai la langue qui s'en délecte déjà. Hein Lin ? Tu n'aimerais pas ? Que je mette la langue tout en bas ? »

Honnêtement, je suis sûr que ce n'est pas le café que moi je connais...

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(( tenue ))

Il n'a pas froid aux yeux, ses mains glissant sur toi sans pudeur, ton cœur palpite sous l'excitation, tu sens l’adrénaline s'emparer de toi. Et sa main glisse sous ta jupe, un soupire s’évapore d'entre tes lèvres. Tu lui souris, le narguant de ton regard defiant. Il a envie de toi ? C'est réciproque, mais tu ne vas pas le lui dire.
« Ça mon chat ... Ce n'est pas mon problème ! »
Il sait que tu as aussi envie, mais, t'es pas facile comme fille ! Tu t’éloignes, le corps bouillant, t'as envie de le toucher partout, t'as envie qu'il t'embrasse avec tout la fougue dont il peut faire preuve, t'as envie qu'il te fasse gémir ... Et pourtant, tu le repousses.
Tu ne retiens pas cet autre soupire qui s’échappe lorsque tu le sens dans ton dos, tu sens son torse, et sa virilité déjà réveillée, tu te mords la lèvre, le cœur battant à une allure folle.
Ses dents dans ton cou, le tissu de ton haut qui remonte, dévoilant sans pudeur la peau de ton ventre et la forme de ta poitrine. Tu brûles contre lui, tu fermes les yeux un instant.
« Non ... Si je te laisse faire, tu vas les salir. »
Qu'il salisse ton corps plutôt, qu'il te donne envie de te donner à lui alors que tu tends la nuque collant sans gêne tes fesses contre lui , te frottant sans aucune timidité à son corp.
Tu souris malgrès toi, taquine. Il te cherche, et même si t'en crève d'envie, t'as pas envie de lui donner la satisfaction d’avoir réussis à te faire craquer, par pour le moment en tout cas. Parce que tu sens ce qui se passe dans ta culotte, ses vibrations imaginaires que tu ressens, ton petit ventre qui se tord dans tous les sens par simple stimulation sensuelle, il te caresse, sa langue te parcours.
Il argumente encore une fois sur ta tenue ... En vérité dans l’état actuelle des choses t'en a rien à foutre, t'as juste envie de jouir dans ses bras, de perdre la tête.
« J'adore quand c'est toi qui fais le café Yu Jin ... »
Un aveu dont il n'aura pas le privilège d'entendre une nouvelle fois. Le haut relevé, toujours , tu te tournes fasse à lui , glissant ton corps contre le siens, tu plonges tes iris dans les siennes, et l'idée de sa tête entre tes jambes ne parvient plus a quitter ton esprit.
Tu passes ta main sur son entre-jambe, tes doigts glissant sur la bosse formée sous le tissu de son jean, tu le presse avec toute ta dextérité, ton regard est presque sévère, comme si a ce moment là tu voulais le remettre à sa place.
« C'est très indécent, tu sais ? »
Dis tu avec le haut relevé, et la main sur son érection encore prisonnière de ses vêtements.
Tu te hisses un peu plus haut pour lui murmurer quelque mots, glissant ton autre main sur son dos , sous le tissu de son haut, tu griffes gentiment sa peau.
« Tu sais ... Parler, c'est bien ... Agir, c'est mieux ! »

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(( tenue ))

Une relation simple. Rien de difficile, ni de compliqué. Rien qui ne cherche affirmation ou confirmation, Lin colle ses fesses contre son intimité habillée et il roule des yeux et des hanches de plaisir, manquant de tirer sur ses cheveux pour la arquer contre lui. Soumission et domination font parties de ces jeux et il ne perd jamais vraiment, bien qu'aucune victoire n'est prévue. Putain, elle le fait bander d'une façon, physique et sensorielle : Elle sent bon, elle est douce, elle est belle et ses soupirs... Il aime à se dire que c'est grâce à lui qu'elle les fait comme ça. Inspiration coupée et souffle saccadé.

Yu Jin vague son bassin, il baise sa peau et continue de toucher avec délicatesse cette fine épiderme sur ses côtes. Puis il remonte sur ses seins cachés d'un sous-vêtements décoré et soudainement, elle se retourne avec grâce, adultère sur la langue et luxure dans la voix. Tout son sang dégringole en bas, son sexe s'érige d'une force, alors que la demoiselle le touche à peine. Mais c'est kiffant de la voir le prendre au jeu comme ça.  « Indécent c'est mon deuxième prénom. » fait-il en chuchotant, lui donnant son entre-jambe, comme un bon garçon écoute la maîtresse quand elle lui dit "non". Elle pourrait lui dire d'être à quatre pattes, il le ferait. Il la laisserait même le baffer si c'était ce qui la fait mouiller : Oui. Yu Jin à ce genre de respect pour Lin... Ou ce genre de délires, qu'importe comment vous voulez l’interpréter.

Ses pupilles se fondent dans les siennes et sans hésitation, pour la faire taire, il approche son visage du sien pour lui dévorer les lèvres, les premières qu'il aura en bouche pour cette minute et il l'embrasse. Avec fougue et flammes, un désir qui l'envahit comme une piqûre de rappel. Qu'importe combien de fois il peut coucher, ce n'est jamais pareil, c'est toujours aussi bon et ça le rend si vivant ! Vivant ! Il s'agace sur cette guerre buccale, la langue

 « Oh vous les femmes, vous aimez faire rugir mon ego, hein ? J'arrive, Madame. » peste-t-il avant de se laisser tomber sur les genoux, mordillant ses cuisses et encageant de ses bras ses jambes pour qu'elle ne bouge pas. A la limite, qu'elle lui tombe sur la gueule c'est pas bien grave, si au final elle finit assise sur sa tronche, n'est-ce pas là l'objectif d'un cuni' ? Et sans tarder, il se soulève un peu pour finir la tête sous la jupe et ses paumes glissent tout le long des muscles et il en roucoule tellement Lin est bien foutue. Sur les fesses, il lui met une tape qui claque et descend sa culotte tandis qu'il goûte sa peau autour, salée et délicieusement sienne pour cet instant au paradis. Yu Jin, il a jamais eu peur de se salir ni d'y mettre la main à la pâte, son dada ce sont les entre-cuisses et y mettre le menton pendant des heures et des heures et des heures... Et là, il finit le nez plaqué qui tourne tout autour, ses commissures qui s'étirent à chaque réaction que Lin peut bien avoir, il profite de l'odeur et de la tentation, ça le torture de pas y mettre de suite sa salive dessus, il aimerait pouvoir la manger sans même se retenir mais il faut y aller avec tranquillité pour ne pas brusquer le minou pendant qu'il est encore en train de se réveiller.

Avec légèreté, il souffle sur le pistil sensible et laisse un rire lui échapper avant de goulûment le prendre sur sa langue, les phalanges plantées sur ses deux belles courbes pour les écarter et y glisser entre de temps en temps. Et au bout de quelques secondes, le comédien entame l'alphabet sur les parties sensibles, avec lenteur et application, piercing brillant entre les bords roses mouillés et index provocant tous les orifices qu'il peut trouver... Juste une rencontre, rien de méchant, rien de pénétrant... Juste de quoi la faire se tortiller sur son visage.

Oh avec Tony, on ne s'ennuie jamais et lui ? Il prend un malin plaisir à vous faire tourner la tête.

Back in Black ♪
(( tenue ))



Si lui est doué avec sa langue ... Tu vas lui prouvé que toi aussi.