| Aller à la page : 1, 2, 3 | | | Sujet: lap issara (manoban pranpriya) · baby, for you i could be undressed 08.11.17 16:15 | |
Lap Issara | ✮ surnoms : issa par le monde, sahara par internet. ✮ âge & date de naissance : 21 novembre 1994, elle fêtera son vingt-troisième anniversaire dans peu de temps. ✮ lieu de naissance & origines : à bangkok en thaïlande, thaïlandaise de ses deux parents. ✮ sexualité & situation amoureuse : célibataire, panromantique mais asexuelle. quelle chance. ✮ rang social : disons qu'elle entre dans la moyenne, mais qu'elle reste à deux doigts de la pauvreté. ✮ métier ou étude artiste, fait des petits boulots à côté. featuring. manoban pranpriya. ┊ groupe : blue logan. | » j'étais avare en amour, j'voulais te garder pour toujours.issara n'est pas du genre à aller chez le coiffeur : elle fait ses teintures elle-même, elle attache ses extensions elle-même, et elle envoie bouler ceux qui traitent sa chevelure de perruque elle-même. ✮ elle est trilingue : le thaïlandais est sa langue natale, l'anglais sa seconde et le coréen sa troisième. elle apprend également le japonais. ✮ issara cherche une perfection, sa muse en quelque sorte, la personne qui lui fera ressentir du plaisir, à qui elle pourra faire ressentir du plaisir, sur qui les lumières de la ville parcourront sa peau avec grâce. ✮ elle appelle les hommes oppa et les filles l'appellent eonnie. les hommes plus vieux sont plus matures, les filles plus jeunes sont plus désirables. ✮ issara est asexuelle, oui, mais pas comme les autres : parce qu'elle ne peut pas faire dans la simplicité, sinon ce serait ennuyant. elle est demisexuelle, et l'assume pleinement ; pour qu'elle ressente du désir, il lui faut un lien fort avec son partenaire. » toutes mes névroses m'rendaient morose.artistique » agressive » instinctive » rebelle » intelligente » critique » polyvalente en art » méfiante » passionnée » possessive »
issara est cette fille qui dessine avec des écouteurs sur un banc, qui fredonne les paroles d'une chanson sans même être sûre de les connaître, qui remue son postérieur dans la rue et qui arrive parfois à rendre ça gracieux. elle est cette fille qui a la chance d'être polyvalente en art, d'avoir une bonne oreille, de n'avoir aucune ou peu de difficulté avec les langues, qui est artistique dans de nombreuses manières inventées par l'homme. elle est cette fille dans un café, qu'on n'ose approcher malgré notre curiosité. elle est cette fille qui nous analyse du regard lors de la première rencontre, qui semble parfois hautaine avec sa beauté des glaces, et qui ne s'ouvre que si, à ses yeux, nous en valons la peine. elle est cette fille qui dit tout de suite lorsque quelque chose ne lui plaît pas, qui est peut-être trop critique pour son bien et celui des autres, et qui se fait des ennemis à cause de ça. mais issara, c'est aussi et surtout cette fille possessive, rebelle et passionnée, qui cherche la perfection et désire la toucher ; cette fille attirée comme un papillon de nuit par les flammes, elle désire se brûler à sa muse et la garder pour elle seule. se réchauffer près d'elle, au creux du lit, là où son corps et son âme acquiesceront son choix. | | behind the computer★ pseudo : gaby, c'est bien. ★ âge et pays : bientôt 16 ans, française à son plus grand damn (québec, attends-moi, hihi). ★ fréquence : au moins 1/7, je dirais. ★ petit mot : toi qui lis ça, je t'aime de toute mon âme. - Code:
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[url=http://magic-unicorn.forumactif.com/t439-lap-issara-manoban-pranpriya-baby-for-you-i-could-be-undressed#5219]★[/url] <x1>manoban pranpriya</x1> » <x3>lap issara</x3>
Dernière édition par Lap Issara le 09.11.17 21:30, édité 3 fois |
| | | | | Sujet: Re: lap issara (manoban pranpriya) · baby, for you i could be undressed 08.11.17 16:16 | |
이야기 - histoire - j'te prenais pour ma chose, t'étais ma dose· tu es née à bangkok, capitale de la thaïlande, lors de l'automne 94. tu as vu le jour dans une ville polluée, bruyante mais surtout pleine de vie. une ville où tu allais passer les vingt prochaines années de ta vie. une ville où tu allais vivre libre, telle la signification de ton nom. et pour être libre, il fallait briser les règles ; il fallait oublier les conventions et mener sa barque, seul, sans l'aide des autres. pourtant, personne n'aurait pu dire que c'est ce qu'il t'arriverait. · tu as toujours eu une bonne relation avec ton père : il te comprenait, toi et ton besoin d'éviter les filles, d'être traitée comme un garçon sans pourtant te sentir ainsi, et riait à chaque fois que tu clamais que tu allais te marier avec lui lorsque tu serais grande. il t'emmenait faire des tours en moto sur les routes dangereuses et exaltantes de bangkok. et tu te sentais libre. tu pouvais presque voler, il te suffisait de tendre les doigts. tu pouvais voir le monde disparaître à toute vitesse, sentir le vent plaquer tes vêtements contre ton corps frêle et déjà bronzé, crier pour accompagner les klaxons et bruits de moteurs. ton père faisait de toi un oiseau capable de rester indifférent aux pentes et au gravier sournois, de dévoiler son plumage malgré le danger, de frôler le ciel tout en restant sur terre. · tu n'as jamais eu une relation fusionnelle avec ta mère. vous étiez bien trop opposées pour, et si elle t'avait donné la vie, ce n'était pas une raison pour l'aduler et lui confier tous tes secrets. la seule chose que toi et ta mère avaient en commun était vos yeux, grands et d'une magnifique couleur noisette. mais que dire sur votre relation ? elle ne te comprenait pas, et tu ne la comprenait pas : elle voulait que tu ais des amies, tu voulais qu'elle te comprenne grâce à une télépathie inexistante. vous n'arriviez pas à communiquer, et c'était peut-être là le plus gros problème de votre relation. longs étaient les jours où vous n'étiez que deux. pourtant, tu lui offrais des dessins le jour de son anniversaire, voire des parfums que ton père te glissait subtilement dans le creux de la poche. · tu n'aimais pas les filles. tu n'aimais pas leurs longs cheveux gras, leurs rires semblables à ceux d'un dindon, les jupes qu'elles portaient, et leur féminité. eurk, qu'est-ce que les filles te répugnaient. on pouvait néanmoins comprendre pourquoi tu te retrouvais avec des garçons, le plus souvent plus âgés d'un ou deux ans. on pouvait comprendre que tu cherchais la maturité, que tu cherchais à être bousculée et plaquée au sol sans que personne ne lâche de cri suraiguë, qu'on puisse salir tes vêtements sans se dire que tu étais une fille, et que tu devais par conséquent prendre soin de toi. les garçons te respectaient autant qu'eux-mêmes, et te traitaient comme une des leurs. tu aimais ça. avant la puberté, les garçons étaient intelligents. après, ils laissaient la société et les formes envahir leur esprit. · les street arts de bangkok étaient magnifiques. les éléphants, l'alphabet thaïlandais, le magnifique cœur emprisonné en cage sur l'immeuble en face de ton école... ce fut ta première rencontre avec l'art. l'art avec un grand a, qui reliait dessin, chant, danse, écriture, poterie... toutes les formes d'art, toutes ces possibilités qui s'offraient à toi : l'art était la beauté, l'art était ta raison de vivre, l'art te permettait de ne plus être une simple réincarnation. l'art te permettait de vivre pour de bon.
· l'adolescence fut la période la plus importante de ta vie (du moins pour l'instant). c'est là qu'arrivaient les premiers amours, les premières bêtises et les premières expériences. c'est là qu'est arrivé le joint. jusqu'à la fin des années 70, la thaïlande était connue pour son cannabis. à présent, c'était interdit. pourtant, tout le monde le faisait. en tant que jeunes de bangkok, nouvelle génération talentueuse et prometteuse, vous souhaitiez tout faire, maintenant. c'est comme ça que l'un de tes amis te proposa ce bâtonnet fumant à l'odeur étrange. naïve et rebelle, tu l'as attrapé, afin de l'apporter à tes lèvres. première bouffée. tu as toussé et fais rire cet idiot qui venait de trouver ton nouvel amour. tu te contentais de cannabis, et ce n'était pas une si mauvaise chose que ça. tu n'étais pas accro, tu aimais juste dessiner en étant un peu moins lucide que d'ordinaire. · c'est à seize ans que tu as connu ta première histoire d'amour. mais pouvait-on parler d'amour lorsque toi et ce garçon n'aviez que la manipulation en commun ? votre relation était malsaine, et tu en avais conscience. l'un pour l'autre, vous n'étiez qu'une simple expérience pour vous découvrir. tu as perdu ta virginité avec lui, et à quoi ça t'avait bien servi ? à fumer un joint après l'acte, une grimace neutre plaquée sur le visage. à réaliser que tu n'avais rien ressenti, à part un corps étranger dans ton intimité. qu'est-ce que tu étais ? · plus le temps passait, plus tu avais l'impression de changer tout en restant la même. ton style changeait, et tu passais des dessins abstraits aux bandes-dessinées. la relation entre tes parents se dégradait furtivement et subtilement : ils ne se disputaient pas mais devenaient plus froids l'un envers l'autre. l'amour semblait peu à peu disparaître. amour que, de ton côté, tu ne ressentais décidément pas avec ton petit-ami. après votre nuit passée ensemble, tu avais réalisé qu'il n'était pas assez parfait. oh, bien sûr, qu'était la perfection dans ce monde rempli d'erreurs ? toi-même tu ne le savais pas. tout ce que tu souhaitais, c'était une personne sur qui les phares de bangkok glisseraient à merveille, sur qui les couleurs se marieraient, avec qui tu pourrais ressentir du désir à chaque instant, tout en décidant de ne pas y succomber afin de vivre une délicieuse souffrance. il te fallait quelqu'un d'autre. quelqu'un qui pourrait te combler. c'est ainsi qu'au lieu de profiter des quelques années d'immaturité qu'il te restait, tu décidais de montrer au monde ce que toi tu souhaitais. tu décidas donc de rompre. · tes parents ont divorcé sans l'aide de la justice, d'un accord commun, comme le permettaient les lois thaïlandaises. tu avais décidé de rester avec ton père, et ta mère n'avait rien contre ça. le temps n'avait fait que vous éloigner. durant le déménagement, tu avais profité de l'euphorie nouvelle de ton père pour lui demander de te payer des cours de coréen. toi, manipulatrice ? juste un peu. tu savais ce que tu voulais, et c'était la corée du sud. tu souhaitais aller vivre là-bas, devenir un artiste underground, bousculer les critères de beauté avec ta peau bronzée mais continuer de les captiver à l'aide de tes grands yeux. ton père a accepté ; après tout, tu avais déjà de très bons résultats en cours (qu'est-ce que tu ne ferais pas pour de l'argent de poche). c'est ainsi que la corée du sud s'ouvrit un peu plus à toi. · la corée du sud te fascinait. l'art, la musique traditionnelle ou plus moderne, la mode, la langue, l'alphabet... tout semblait mieux qu'en thaïlande, malgré votre alphabet tout simplement magnifique. les sons coréens étaient plus doux, et ils étaient si doués en danse. au fond de toi, tu savais qu'ils n'étaient pas parfaits, mais ils se rapprochaient tellement de ce que tu recherchais. peut-être pourrais-tu trouver ta muse parmi eux ? ce fut à partir de ce moment qu'en plus d'apprendre le coréen, tu commençais à économiser pour avoir de quoi vivre au pays du matin calme. · on t'avait souvent qualifiée de personne « je-m'en-foutiste », sûrement parce que tu étais du genre à lever les yeux au ciel et parce que tu étais du genre à montrer ton désintérêt en soupirant et en enroulant tes cheveux autour de ton index. pourtant, étais-tu vraiment comme ça ? oh, peut-être qu'au fond, tu étais un peu misanthrope ; l'humanité avait la fâcheuse tendance de te désespérer en créant des guerres meurtrières (la guerre froide ne semblait pas être si en vogue que ça), ou en se pensant supérieure à toutes les autres espèces. ah, issara, qu'est-ce que le monde allait bien pouvoir faire de toi ? bref, on te qualifiait de je-m'en-foutiste, et ça n'était peut-être pas la meilleure des choses. même ton père, ton second dieu, avait parfois l'impression que tu te fichais de tout, même de ta propre vie. c'était sûrement pour cela qu'il n'a pas craint ta réaction lorsqu'il s'est trouvé une autre femme, que tu as par stupide respect envers ta mère trouvée horrible. tu avais dix-huit ans, bientôt dix-neuf, et tu serais officiellement majeure dans un peu plus d'un an. le divorce était passé depuis deux longues années. au fond de toi, tu avais compris qu'il avait besoin de se reconstruire. tu allais le quitter et il s'en doutait ; il n'y avait véritablement aucun problème. tu étais peut-être étrange, mais au moins, tu ne faisais pas totalement le malheur de tes proches.
· tu as quitté la thaïlande à ta majorité. tu as appelé ta mère quelques jours avant, tu as dis au revoir à ton père et sa nouvelle partenaire, tu es partie pour ne revenir que rarement, peut-être dans plusieurs années. ton accent coréen s'était amélioré sans être parfait, ta connaissance du pays et de la culture également... et tu n'avais personne là-bas. pour la première fois de ta vie, tu étais réellement seule. tu te souviendras toujours de la façon dont tu avais arraché la peau de tes lèvres. de la façon dont ton cœur pleurait, mais pas tes yeux. de la façon dont ta passion t'a emmenée jusqu'à l'inconnu. avais-tu peur, sur le moment ? non. tu étais terrifiée. · tu t'es d'abord dirigée vers séoul, comme tout bon touriste qui se respecte. tu pensais vivre là-bas, mais deux nuits à l'hôtel ont suffi à te décourager : tu venais de quitter bangkok, tu n'étais pas prête pour une ville aussi animée qui ne sentait pas la maison. une ville aussi animée qui n'était pas chez toi. c'est ainsi que busan s'offrit à toi, ville portuaire animée mais plus calme. l'odeur de la mer (ou de l'océan, mais quelle différence ?) te ferait sûrement du bien. tes cheveux désormais teints en blond contre les lèvres, accoudé à la fenêtre de ta chambre, tu avais silencieusement acquiescé ton choix. · tu as trouvé une colocation à busan, où tu es restée deux longues années. avec une autre personne, vous viviez comme vous le pouviez. c'était une fille un peu plus jeune que toi, majeure en corée, qui n'était pas moche à regarder. t'attirait-elle ? oh, tu n'irais pas jusque-là. tu avais du mal à ressentir du désir, asexuelle que tu étais. disons que tu ne la trouvais pas laide. maintenant, ton esprit souhaite oublier son nom, bien qu'il soit toujours sur le bout de ta langue. · tu as commencé à poster tes œuvres sur la toile lorsque le loyer n'a plus été un problème. ta vie semblait assez stable pour que tu puisses te le permettre. tu es devenue sahara, tel le désert, seulement parce que c'était un surnom idiot que tu avais trouvé avec ton nom. et très vite, malgré ton style parfois étrange, ces éléphants que tu adorais rajouter sans grande raison en arrière-plan, ces street arts amateurs aux lettres de ton pays, des gens ont commencé à apprécier. alors tu as continué. tu as continué la bande-dessinée virtuelle, tu as inventé des personnages récurrents, tu t'es baladée dans le monde de l'art en postant des essais ridiculement simples, et tu t'es épanouie. tu commençais de plus en plus à réaliser qu'au final, tu étais devenue une artiste. tu n'avais pas tout quitté pour rien. · et ta colocataire se rapprochait de la perfection. tes envies malsaines se sont réveillées sans que tu le réalises véritablement. c'est ainsi qu'un soir où ses joues rosies par l'alcool et sa peau éclairée par la lune t'attiraient bien trop, tu as posé tes lèvres sur les siennes avec toute la douceur dont tu pouvais faire preuve. tu as posé tes doigts peinturlurés de vernis sur sa nuque. tu t'es rapprochée d'elle comme tu n'aurais jamais cru réellement le faire. et, comme dans un conte, elle a répondu. elle a glissé ses mains dans tes cheveux, reculé un instant pour respirer, collé son corps au tien. vous avez passé la nuit à vous embrasser et à découvrir le corps de l'autre. ta bouche a parcouru ses courbes avec plaisir, le sang a afflué dans ton être tout entier, le désir t'a envahie. après vingt-et-une années d'existence, tu faisais enfin l'amour. · que la vie était belle. c'était les pensées qui t'envahissaient lorsque tu regardais son corps, lorsque tu entendais sa voix, quand tu voyais son sourire. la vie était belle, et vous la viviez à deux. peu importe ce que les autres pensaient, ce qu'ils disaient, tu n'en avais que faire. tu souhaitais rester avec ta perfection pour l'éternité. tu souhaitais toucher son corps pour le restant de ta vie. tu souhaitais la voir élégamment assise sur le lit pour le restant de tes jours. tu souhaitais tout faire, maintenant, et que cela dure le plus longtemps possible. étais-tu niaise ? sûrement. et qu'est-ce que ça te plaisait. · pourtant, toutes les bonnes choses ont une fin. un an plus tard, alors que tu n'avais que vingt-deux ans, ta muse a décidé de te quitter. est-ce ça t'a détruite ? non, n'abusons pas. disons juste que tu étais perdue. disons que ton côté agressif a pris le dessus. disons que la dispute a été plus violente que prévu. disons qu'elle t'a dis être trop possessive, trop étouffante, trop malsaine, trop critique, trop méfiante, trop passionnée. disons que tu avais choisi d'aimer quelqu'un pour la première fois de ta vie et que ça s'était mal passé. disons que toutes ces paroles t'avaient momentanément coupé le souffle. disons qu'au lieu de grandir et de te remettre en question, tu as nié en te forçant à penser que tout irait bien, et que cette perfection n'était pas la tienne. mon cœur, que tu es décevante. · et dans toute cette perfection qui ne t'étais pas destinée, elle t'a laissé l'appartement pour aller vivre ailleurs. les boulots que tu faisais te rapportaient assez pour vivre, et tu venais de rencontrer le propriétaire d'une galerie d'art. faire partie de ses protégés te plaisait bien, tu devais te l'avouer. alors tu décidais de te voiler la face dans la magnifique ville qu'était busan. après tout, il te suffisait de fumer un joint, d'attraper un crayon et de dessiner. c'était ce que tu faisais de mieux. tu étais passionnée, et ta recherche de la perfection menaçait de te détruire seconde par seconde. mais au moins, tu vivais comme tu l'avais toujours souhaité : tu vivais libre.
Dernière édition par Lap Issara le 09.11.17 21:29, édité 5 fois |
| | | seo eden✨ Admin de l'espace ✨ More informations ? Âge : vingt quatre aans, on est conteeent Métier ou études : directeur du jook joint jezebel Résidence : dans un penthouse sur l’île d'oryükdo Côté coeur : aimez tout le monde, baisez tout le monde ça doit être votre mojo à jamais Journal : whisper of the heart
Je sens en moi une trame douce, vibrante, un battement d’ailes tremblant au repos, retenant son souffle. Quand je serai vraiment capable de peindre, je peindrai ça.
la noirceur des mots, la beauté du regard, être quitté c'était un risque consenti au premier regard. mais partir, c'était autre chose. c'était renoncer à toi de mon propre chef. ne plus te voir, ne plus t'entendre, te toucher parce que je l'avais décidé.
brother complex, je brille que si tu brilles. ton cœur a crié mais je t'entendais si mal. j'peux pas, les âmes en paix rêvent de s'émanciper. ceux qui n'cherchent que le sommeil s'y perdent. le temps passe, les rêves s'entassent.
don't go and leave me, if I could tear you from the ceiling, i know best have tried. i'd fill your every breath with meaning and find a place we both could hide.
the beast and the beauty, renaître dans ses courbes, rallumer la flamme qui nous anime et transcender l'incroyable vérité que nous vivons dans nos passions irrésolues. le fantasme nourrit nos rencontres, la résolution nous désunis.
j'aimerais pouvoir vivre, savoir que c'est possible. corrompre le temps et mon orgueil. me baigner dans les eaux salés des larmes des autres qui t'ont détruits. j'aimerais tout ça mais je ne tente que le chaos.
Messages : 1092 Crédits : myself © | | Sujet: Re: lap issara (manoban pranpriya) · baby, for you i could be undressed 08.11.17 17:44 | |
SACHE QUE TU ES TRES TRES DOUCE. j'ai vu ton message dans la partie invité c'bon j'suis tombée amoureuse de ton perso, ta douceur du coup, merci de passer au centre d'adoption, ryu ainsi que moi-même vont être tes nouveaux papas
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| | | | | Sujet: Re: lap issara (manoban pranpriya) · baby, for you i could be undressed 08.11.17 17:51 | |
QUE-- je n'étais point prête. :arrow: (ugh, j'ai trouvé mes smileys préférés) merci beaucoup, gentil monsieur. ma douceur ? oh, arrête, j'vais vouloir sortir des blagues salaces pour te contredire. OH OUI, JE VEUX DES PAPAS. je vous fais une fiche parfaite et j'passe me faire adopter, nouveau papa. :arrow: |
| | | Takahashi Ryu✨ Admin en carton passé plastique ✨ More informations ? Âge : 26 ans qu'il respire l'air pollué de cette foutue planète Métier ou études : artiste de génie reconnu dans le monde de l'art sous le pseudo de Fubuki, il a récemment ouvert The Hole, une galerie d'art avec Yuki à Busan, enfin plutôt un bordel artistique où les fous comme eux se retrouvent oui Résidence : Il vit dans un magnifique loft moderne avec vu sur la mur au dessus de la galerie d'art nommé The Hole dont il est le fier propriétaire avec Yuki. Il y vit d’ailleurs avec cette dernière et son petit frère Tôru. Côté coeur : completely heart-broken, il noie son chagrin dans l'alcool et des bras inconnus pour se la retirer de l'esprit et du cœur Journal :
You're only happy when your sorry head is filled with dope
Fiche ☾ Liens ☾ Phone ☾ Insta
CYNIQUE ☾ FRANC ☾ RELOU ☾ MYSTERIEUX ☾ TRAIT DE CARACTÈRE ☾ SECRET ☾ SANGUIN ☾ TRAIT DE CARACTÈRE ☾ GÉNÉREUX ☾ FLEMMARD ☾ JE M'EN-FOUTISTE ☾ SÉDUCTEUR ☾ PROTECTEUR ☾ MANIPULATEUR ☾ ARROGANT ☾ REBEL ☾ INTELLIGENT ☾ RUSÉ ☾ ÉCORCHÉ VIF ☾ JOUEUR ☾ ARTISTE DE GÉNIE ☾ BORDERLINE ☾ FIDÈLE ☾ ASSOCIBLE ☾ FÉTARD ☾ MÉLANCOLIQUE ☾ FROID
× × × × × × × × × × × × × × × × × × × × × ×
Babe you're my everything
Ever since you left, been rainy days
I’ve been a fuckin’ mess
Wakin’ up in a sweat
Memories a haze
Still faded and drunk as shit
Been anywhere that trouble is and God is not
Girl, I confess
I’ve been crossin’ off death wishes
my life is a fucking roller coaster, my heads is filled with some shit and yet I still think about you , can we go back to the way things used to be ? Cause I'm a dead among the leaving without you
#teamRyuKi
× × × × × × × × × × × × × × × × × × ×
I hurt you and I won't ever apologize enough for it, but honey, I never lied about my feelings for you
I'll always be there to take your hand, I'll save you as you saved me
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Just lay a finger on his head and you're dead
We've taken different paths
And travelled different roads, I know we'll always end up on the same one when we're old, and when you're in the trenches, And you're under fire I will cover you, If I was dying on my knees , You would be the one to rescue me, And if you were drowned at sea, I'd give you my lungs so you could breathe
I've got you brother
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don't mess with us
Messages : 1087 Crédits : ©Gathouuuuu <3 | | Sujet: Re: lap issara (manoban pranpriya) · baby, for you i could be undressed 08.11.17 18:21 | |
GRAVE T'ES NOTRE BB on te demande pas ton avis oui on est comme ça ici ! Bref tu sais déjà à quel point j'aime d'amour Isaara Alors j'ai graaaaave hâte de lire ta fiche pour qu'on s'éclate ensemble mon petit chat ! Si tu as la moindre question n'hésite pas je suis là as always ! |
| | | | | Sujet: Re: lap issara (manoban pranpriya) · baby, for you i could be undressed 08.11.17 18:39 | |
LA PLUS DOUCE DES DOUCEURS. Ton message, ton personnage, ton choix d'avatar, le groupe, tout est perf. Évidemment qu'on veut de toi même que tu verras ma tamara sur ta fiche de lui. Jpp je veux être la voisine de votre famille. (ah juste une petite modification à apporter ton titre toi commencer ainsi : Nom Prénom » ton titre) |
| | | | | Sujet: Re: lap issara (manoban pranpriya) · baby, for you i could be undressed 08.11.17 18:44 | |
ryu d'amûr : AH OUAIS, JE PEUX PAS REFUSER ? BAH JE COMPTAIS PAS, DE TOUTE FAÇON. #crédibilité fjuedaidea mais arrêtez tous avec vos messages d'amour, mon cœur va pas tenir, faut que je finisse ma fiche avant de mourir. (etjefaisdesrimes)tamara : ton nom me rappelle la bd, omd. c'était ma vie, cette bd. :arrow: PUIS C'EST QUOI TOUS CES ADMINS QUI VIENNENT ? NO ESTOY PRÊTE. owi, sois notre voisine, j'viendrai t'apporter des cookies. (omd pardon, c'est réglé. :arrow:) |
| | | | | Sujet: Re: lap issara (manoban pranpriya) · baby, for you i could be undressed 08.11.17 19:29 | |
J'suis pas sur le bon compte mais on s'en fouuuuuut. Yolo Binvenuuuuuue jolie fleuuuuur Bon courage pour la fin de ta fiche ! épousaille moi aller -sort- |
| | | | | Sujet: Re: lap issara (manoban pranpriya) · baby, for you i could be undressed 08.11.17 19:39 | |
bienvenue toi j'ai aperçu aussi ton message et ton perso à l'air tellement doux et cool , hâte d'en voir plus fight pour ta fiche |
| | | Lannister AdamFloodeur en or More informations ? Âge : 29 yo. Birthdate : 06/05/1989 Métier ou études : ceo de la lannister enterprise. Résidence : appartement duplex, nam-gu. Journal :
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welcome in adam's superheroes photobook!
WHICH ONE ARE YOU GOING TO BE?
adam, AS THE JOKER!
dangerousness
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the most dangerous of the collection : himself. he pities no one in this world, stands for his convictions only and embraces his semblance of perfection. he has that kind of look, that kind of aura, that kind of superiority that makes you feel like a little piece of shit. he is a lannister after all and the legend is true. he is aptly named.
keywords : les yeux qui lèvent au ciel – la réincarnation de dieu – la propreté d'un hôpital – le rouge flamboyant du seau – le roi des lions – les fesses sur le trône – la couronne à l'envers – la main usitée à donner des ordres – la mine dégoûtée – les manières de diva – l'arrogance à plein nez – les marvel de son enfance – la petitesse dépassée par sa grandeur – le regard qui écrase – une violence refoulée – la solitude décharnée – le poison des mots – la tempête au cœur du soleil – l'odeur de l'argent – la haine du bas peuple – l'amour incommensurable pour lui – les mémoires qui trompent – le château en haut de la montagne – le menton levé – les pieds qui tapent – les bras croisés – le soupir du lannister – le charisme qui enfonce – les stylos alignés – le poing serré – la moitié disparue – la collection de pierres précieuses – les manières de père en fils – la génitrice absente – l'incompréhension du mot famille – le contrôle permanent – la noirceur du cœur – les larmes fantômes – la hantise du passé – l'illusion de demain – le pire de tous
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alex, AS BUCKY!
dangerousness
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the second most dangerous. adam doesn't even know how he got there but he trusts him from the bottom of his exhausted heart. even if he doesn't show it everyday, he knows he will always be there, by his side. and what makes him so dangerous is that, against all odds, he understands adam better than anyone else.
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luka, AS HARLEY QUINN!
dangerousness
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adam has never thought that such a dumb and senseless man would ever enter his life. him and this stupid dog. why is he here? why is he breaking his daily routine like this? why is he becoming so recklessly dangerous as the days go by? adam hates him, right? so why can't he remove the ring that delightfully adorns his finger?
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seoeon, AS SPIDERMAN!
dangerousness
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this one is surely not physically dangerous, he is way far from it. but, maybe it's his stainless heart that hits adam so hard everytime they see each other. his innocence, his ignorance, his brightness make everything so much easier. like if adam was talking to a more stupid and younger version of himself. it brings back some memories and it reminds him that youth is such a fun thing to live.
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nino, AS WOLVERINE!
dangerousness
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adam was afraid to open his heart to him. he was afraid of letting him enter his life because it seemed like he could do it so easily. he didn't know what to do nor to say, so he just shut the door, and threw him like if he was just a toy, when he actually could have been the one. adam was just afraid to love at that moment.
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lei, AS BATMAN!
dangerousness
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his looks from above. his stupid manic manners. his dumb restaurant. the table he sets aside for him. the fact that he waited. the ad for his apartment. his unjustified courtesy. the dishes he still cooks for him. all those little things make him hate him. a kind of hate he never felt. but is it really hatred? adam doesn't know, and he doesn't know if he wants to.
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golden busanity
Messages : 10102 Crédits : patr.onus (avatar), astra (signa). | | Sujet: Re: lap issara (manoban pranpriya) · baby, for you i could be undressed 08.11.17 19:58 | |
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| | | | | Sujet: Re: lap issara (manoban pranpriya) · baby, for you i could be undressed | |
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