Chers petits curieux,

Vous venez m’accorder cette interview spéciale : Insanity Busanity, afin de savoir qui je suis ? Présente et ayant du temps pour vous, me voici.

On me connait sous le nom de Rhee Jae-Hwa, la fille de Rhee Hee-Joon, un célèbre PDG gérant de multitudes d’hôtels et de lieux bien-être dans le monde et de Cho Hana, une mannequin renommée et connue pour dégager une image sensuelle de la femme. On dit souvent que les prénoms commençant par la lettre J sont le signe du perfectionnisme. Mon prénom porte la signification du respect et de la beauté.  

Je suis née à Séoul, dans une situation amplement aisée et ne manquant absolument de rien. Mon éducation fut dorée si je peux dire ainsi et mes parents étaient souvent en voyage. Mee Na, ma femme de chambre depuis toujours est devenue comme une grande sœur gardant un œil sur moi et m’élevant en quelque sorte. Ne croyez pas que mes parents n’avaient pas le temps pour moi, parfois nous faisons des sorties familiales, c’est juste que le travail passe avant.

 Est-ce qu’ils se fichent un peu de leur fille unique ? Oui et non. Mes parents m’ont toujours aimé à leur manière, ils misent aussi l’importance de l’image car ils ont tout donner pour arriver à cette richesse. Mes parents viennent tous deux de bas quartiers et ont monté de grade par leur travail acharné devenu respecter parmi beaucoup.  Ils se fichent aussi de savoir que je couche avec des filles autres que des garçons tant que j’épouse un homme au final, le reste ce n’est pas grande importance pour eux.

J’avais 17 ans quand j’ai découvert mon attirance non seulement pour les hommes, mais pour les femmes, en compagnie d’une camarade de classe, c’est ainsi comme cela que mes parents ont su la vérité sur leur fille. Ils ne m’ont pas renié, ni envoyer dans un asile juste demander la discrétion à cause des médias.  

J’ai fait des études en gestion marketing et communication afin de reprendre les affaires de mon père étant la seule héritière qui lui succède, mais j’ai également fait des contrats de mannequinat avant de poser les pieds à Busan. En effet, j’ai été vivre à Madrid ou encore à New York et poser pour beaucoup de photographes, je dois être reconnaissance d’avoir hériter de la beauté de ma mère.

Nous sommes revenus à Busan après un évènement de bienveillance qui fut déplaisant par un partenaire de mon père qui ne voulait juste qu’avoir ses saletés de mains sur mon corps. Les hommes ont tendance à penser que les femmes ne sont que des objets surtout dans ce milieu de vieux pervers dont leurs femmes ne les satisfaits plus. Par chance, j’ai suffisamment donné un coup à la tête avec une ancienne lampe et la sécurité ayant entendu le boucan est venue aussitôt. Mon père n’a pas remis en question ma parole et surtout parce qu’il m’a vu dans une tenue dépravée et déchirée.

Actuellement, je prends le titre de Directrice dans un spa situé sur l’île Oryûkdo auquel mon père me laisse entièrement la responsabilité d’en faire ce que je désire et de l’innover à ma manière. C’est ainsi que démarre ma nouvelle vie à Busan.